Michel Vaïs

critique de théâtre

et naturiste



Michel Nino Vaïs, né à Tunis (Tunisie) le 20 janvier 1946, installé à Montréal depuis le 8 mars 1958, est un critique de théâtre et un naturiste québécois.

Compte Facebook


Pour sa biographie théâtrale, voir l'ouvrage L'accompagnateur. Parcours d'un critique de théâtre, Éd. Varia, 2005

Pour sa biographie naturiste, voir Nu, simplement. Nudité, nudisme et naturisme, Éd. Triptyque, 2012


NOTE: LES ONGLETS DU MENU (SOUS LES BARRES DE RECHERCHE EN HAUT À DROITE) RENVOIENT SEULEMENT AUX TEXTES POUR L'INSTANT.

POUR LES ILLUSTRATIONS, VOIR SOUS «ACCUEIL», JUSQU'EN BAS. SEULS ONGLETS ACTIFS POUR LE MOMENT : LA PAGE D'ACCUEIL, ARCHIVES ET GALERIE.

Dernière mise à jour le 21 novembre 2022.

Derniers ajouts : Article du Soleil sur L'accompagnateur, liens vers des entrevues télé sur le naturisme, sur le Dictionnaire des artistes du théâtre québécois, sur une conférence à Istanbul, entretien avec Lamberto Tassinari sur Zone Culture et sur le dossier sur le rire dans la revue de théâtre Jeu, entrevue audio avec Robert Lepage lors de la remise du prix Europe à Thessalonique (2007), derniers articles publiés.




Sommaire

1. Biographie

2. L’école anglaise

3. Pratique théâtrale

4. Séjour en France

5. Enseignement, animation, associations

6. Carrière radiophonique

7. Rôles au théâtre, mises en scène

8. Études

9. Prêts, bourses, subventions

10. Participation à des jurys

11. Prix, distinctions

12. Missions à l’étranger

Mitaro dans Fando et Lis chez les Saltimbanques. Mise en scène : Francine Noël

1. Biographie

Arrivé à Montréal à 12 ans, déjà amoureux de la langue française, Michel doit aller à l’école anglaise.

Il est le fils de Charles (Victor, Haïm) Vaïs (1903-1998) et de Jacqueline (Messaouda) Dian (1925-2008), nés à Tunis en 1903 et 1925, de confession juive sépharade, libérale. Ses parents se sont mariés le 25 mars 1945. Charles Vaïs était importateur de matériel de charcuterie et Jacqueline, sans emploi en Tunisie, est devenue garnisseuse de chapeaux arrivée au Québec. Ses frères sont Marc Vaïs, né en 1953, artiste visuel et ébéniste, et Fabien Vaïs, né en 1948, traducteur technique, décédé le 17 septembre 2014. Michel Vaïs a épousé Françoise Crête, orthophoniste et conteuse, le 6 février 2016.


Arrivé à Montréal à 12 ans, via Halifax, le 8 mars 1958, déjà amoureux de la langue française, le jeune Michel doit aller à l’école anglaise, car les écoles françaises, regroupées à la Commission des écoles catholiques de Montréal, exigeaient un baptistère pour s’inscrire, tandis que le réseau de la Protestant School Board of Greater Montreal accueillait sans distinction les enfants de toutes origines et religions. Il a donc appris sur le tas, pendant quatre mois, des rudiments d’anglais en 5e année, à l’école primaire Victoria, rue Saint-Luc, proche de l’immeuble des logements temporaires que les immigrants nord-africains occupaient par les soins de la Jewish Immigrant Aid Services. En septembre 1958, la famille déménage au sous-sol/garage du 4357 avenue de l’Esplanade (où elle demeure 2 ans), et Michel fait son entrée au Baron Byng High School, au 4251, rue Saint-Urbain. Plus tard, la famille s'installera au 4369 avenue de l'Esplanade, où elle demeurera 25 ans. (Voir mon premier CV, commencé à 14 ans, sur ce site Web, dans Galerie.)


La famille Vaïs a vécu là, au 3e étage du 64 avenue de Paris, à Tunis, de 1951 à 1958.


Le 4369 avenue de l'Esplanade, au premier étage.

Dessin d'Yves Cohen, 1971.

2. Du high school au théâtre

d'avant-garde

Découverte déterminante du théâtre...

dans une quincaillerie !

Écarté des cours de français en 8e et en 9e années (il corrigeait le professeur…), ce qui lui a valu des heures de lecture solitaire à la bibliothèque de l’école, il crée, grâce aux encouragements du professeur Charlez aux cours de français oral de 11e année, le premier journal francophone dans un high school anglais : le French Cancan. Il vend 5 cents les exemplaires dans les couloirs de l’école avec des élèves nord-africains, qui collaborent aussi au journal ronéotypé. Cette année-là, refusant de suivre les cours de Mechanical Drawing que l’ensemble de sa classe avait adoptés, il choisit plutôt le cours « Art », où il se retrouve seul élève avec le professeur.


Diplômé en 1962, après sa 11e année, il rate son inscription à la Sir George Williams University (future université Concordia), car son père avait fait un chèque de 25$ sans provision pour l’ouverture de son dossier. Il va donc se chercher un emploi pour pouvoir payer une pension à ses parents. En même temps, il suit pendant un an les cours de diction et de radio du Studio-Théâtre, au 1825 avenue du Mont-Royal Est, près de Papineau, où le professeur Léo Rollet l'initie au Misanthrope de Molière. Il passera même une audition dans un poste de radio de Trois-Rivières, comme « annonceur »... En vain.


Pour gagner des sous, il est d’abord vendeur d’abonnements à des magazines de porte à porte, puis d’encyclopédies Grolier, coursier pour le magasin de meubles Woodhouse (à l’emplacement de l’actuelle Place des Arts), préposé aux retours pour une manufacture de vêtements, coursier encore pour la compagnie de chemins de fer Canadien National. Il entre enfin comme vendeur à la chaîne de quincaillerie Pascal, au Centre d’achats Normandie, à l’automne 1963. C’est là, début décembre, qu’il fait une rencontre déterminante, celle de Marc Chartier, représentant de la compagnie Sylvania, un fabricant d’ampoules et d’accessoires électriques, qui l’invite à venir le voir jouer le soir au théâtre des Saltimbanques, 393, rue Saint-Paul Est, dans le Vieux-Montréal, dans une pièce d’Armand Gatti, L’Enfant-Rat.


Vaïs ne verra jamais le spectacle (un « enfant rat » n'avait rien pour l'attirer...), mais son décor, puisque c’était la dernière représentation. Ce soir-là, le 6 décembre, il avait d’abord choisi d’aller avec une amie voir le spectacle du monologuiste Raymond Devos à la Comédie-Canadienne, dont il avait déjà appris quelques sketchs par cœur. C’est que le titre de « L’Enfant-rat » ne l’attirait pas… et il ne connaissait rien du théâtre. Son expérience de spectateur se limitait aux téléthéâtres des Beaux Dimanches à Radio-Canada, à un Hamlet vu avec sa classe un jour au Montreal High School par des comédiens de tournée, et à une partie de Bousille et les Justes de Gratien Gélinas, qu’il avait observée de la coulisse côté cour de la Comédie-Canadienne, car son frère Fabien, paralytique depuis l’âge de 2 ans, représentait cette année-là les enfants infirmes du Québec sous le nom de « Tiny Tim », pour une campagne de financement animée par un prestidigitateur célèbre de Montréal, Magic Tom. Avec Fabien, ce dernier devait faire une annonce à l’entracte, devant la caméra dressée dans la coulisse, pour Radio-Canada qui filmait le spectacle ce soir-là. Voir Gélinas en Bousille souffrir sur la scène, puis aller retoucher son maquillage en coulisse avant de revenir se faire torturer a profondément marqué le jeune Michel. Cela s’est passé le 18 avril 1962.

Le French Cancan dans Le Petit Journal

Une journaliste du Petit Journal est venue faire un reportage sur cette première publication en français dans un high school anglais de Montréal, qui s'est vendue à 250 exemplaires (à 5 cents) dans les couloirs de l'école, dès le premier numéro, paru le vendredi 5 janvier 1962.


Voir sur ce site Web, dans « Galerie ».

Premiers spectacles Raymond Devos

Toujours en amateur, Michel Vaïs a donné plusieurs spectacles de sketchs de Raymond Devos.

Spectacle Devos-Bodoin de 1967

Étonnamment, le journaliste a pris, pour illustrer cet entrefilet, une photo du personnage de Vulpian, dans Les Nourrices aux Saltimbanques.

3. Pratique théâtrale

Les Saltimbanques à l'Expo et au

Théâtre d'Aujourd'hui

Même s’il est arrivé chez les Saltimbanques après la dernière de L’Enfant rat, Michel s’est joint au party de Noël de la troupe qui a suivi, et a si bien fait rire les membres de la troupe d’amateurs en leur disant des sketchs de Raymond Devos qu’ils l’ont invité à jouer dans le spectacle suivant, alors en répétition, Le Satyre de la Villette de René de Obaldia (avec entre autres Claude Gai/ Sanschagrin dans le rôle de Monsieur Paillard). Ainsi, sans la moindre expérience du théâtre (mais il avait déjà suivi quelques cours au Studio-Théâtre, rue Mont-Royal, pour faire de la radio : diction, pose de voix avec M. Rollet...), Vaïs commence à jouer dans le répertoire d’avant-garde de la troupe : Fernando Arrabal, Boris Vian, Romain Weingarten, Gabriel Cousin, Roger Huard, Slawomir Mrozek… Il demeurera membre de la troupe dirigée par Rodrig Mathieu jusqu’à sa dissolution, le 6 avril 1969. Il apprend à jouer en jouant, mais aussi grâce à des professeurs que les Saltimbanques font venir : Paul Buissonneau y a enseigné le mime et Eleonore Stewart, de l'École nationale de théâtre, la pose de voix. Simultanément, il accomplit un certificat de deux ans en traduction anglais-français à l’Université McGill. En ce qui concerne les sketchs de Raymond Devos, Vaïs en fera des spectacles au cours des années suivantes, dans des lieux comme le Chansonnier classique au Centre Cherrier de la Palestre nationale (le 28 janvier 1967), avec notamment Louise Deschâtelets récitant des poèmes, et au Théâtre de Verdure du Parc Lafontaine, à l’invitation de la chanteuse Germaine Dugas, après avoir passé une audition. Après le décès de l’humoriste en juin 2006, Vaïs a repris des spectacles (VOIR EXTRAITS SUR YouTUBE) en hommage à Devos au centre naturiste la Pommerie et à la Chapelle historique du Bon-Pasteur, toujours en amateur.


Poussé à pallier ses lacunes en matière de culture française, au printemps 1964, grâce au Prêt d’honneur de la Société Saint-Jean-Baptiste, il s’inscrit au baccalauréat ès arts (B.A. pour adultes) de l’Université de Montréal, obtenant son diplôme au printemps 1967, après 36 mois consécutifs de cours de 17h30 à 19h30 (ainsi que la journée du samedi et en été), avant de filer au théâtre dans le Vieux-Montréal pour le spectacle de 20h30. Il suit à l'U. de M. un maximum de cours facultatifs sur la littérature, la poésie et surtout le théâtre, français et québécois. Comme il ne joue pas dans tous les spectacles des Saltimbanques, il se joint à la troupe du Nouveau Théâtre universitaire dirigée par le comédien Lucien Hamelin (vedette du film Trouble-Fête), où il joue dans La Tête des autres de Marcel Aymé, avec notamment l’acteur Yves Corbeil, puis dans le spectacle de poésie L’Afficheur hurle et dans Le Dernier des métiers de Boris Vian, et met en scène Les Précieuses ridicules de Molière. Fondant sa propre troupe éphémère (la Troupe d’avant-garde du Café-Campus), il se produit au tout nouveau Café Campus de l’Université de Montréal, rue Decelles, en janvier 1967, y montant Le Général inconnu de René de Obaldia, avec les étudiantes en lettres Louise Laprade (future comédienne) et Denise Desautels (future poétesse), tout en se réservant le rôle-titre du spectacle présenté en programme double, avec tantôt le chanteur Claude Dubois, tantôt le mime Claude St-Denis.


Toujours membre des Saltimbanques, Vaïs veut répondre à un défi lorsque la troupe est sollicitée par Radio-Canada pour présenter une pièce en un acte à la télévision dans le cadre d’une série d’émissions dramatiques consacrée aux jeunes compagnies. Devant la difficulté de trouver un texte correspondant à la ligne « d’avant-garde » de la compagnie, Rodrig Mathieu s’apprête à décliner l’offre, quand Vaïs déclare qu’il allait écrire une pièce et l’apporter à la troupe le lendemain. En une nuit, il écrit Cui-cui, qui sera montée et filmée par Radio-Canada pour y être présentée le 31 juillet 1966. La pièce est publiée la même année dans la revue La Barre du jour. Plus tard, il écrira une pièce radiophonique en un acte, L’Erreur, qui sera jouée à la radio de l’Université de Moncton (1985) et sur scène, au théâtre de la Ruelle mondaine, à Montréal (1988).


Aussitôt obtenu son diplôme de 1er cycle universitaire, à l’été 1967, Vaïs s’inscrit à la maîtrise en lettres françaises à l’Université McGill, qu’il termine en juin 1969 avec un mémoire sur René de Obaldia, Le Sentiment d’étrangeté dans l’œuvre de René de Obaldia, dirigé par le professeur Jean Leduc.


L’année de l’Expo 67 à Montréal, Vaïs travaille au pavillon du Québec et à celui de la Russie tout en débutant ses cours de maîtrise. Il est aussi de la distribution (avec notamment Carole Lord/Laure) de la pièce Équation pour un homme actuel, que les Saltimbanques donnent au Concours des jeunes compagnies du pavillon de la Jeunesse, à l’invitation de la productrice Thérèse Arbic. La pièce, signée Pierre Moretti mais écrite par un ordinateur du Centre de calcul de l’Université de Montréal, mise en scène par Rodrig Mathieu, directeur de la troupe, fait l’objet d’une descente de police pour indécence en cours de représentation le soir de la dernière. Neuf des 11 comédiens (mais ni Michel Vaïs ni Robert Toupin, qui ne jouaient pas dans le 9e tableau, « Érotomanies ») sont alors arrêtés, emprisonnés jusqu’à leur comparution le lendemain. Après un procès fort médiatisé, et malgré le soutien – et l’appui financier – de personnalités comme Jacques Languirand, Paul Buissonneau, Gratien Gélinas et le critique Martial Dassylva de La Presse, les Saltimbanques perdent leur procès en cour municipale, devant le juge Gérard Tourangeau. C'est le même qui coupera les vivres à la pièce du TNM Les fées ont soif quelques années plus tard.


En avril 1968, Équation… se produit au Festival de théâtre de Nancy (France) à l’invitation du directeur Jack Lang (futur ministre de la Culture) et grâce à une subvention extraordinaire du ministère des Affaires culturelles du Québec. Toute la troupe (sauf Carole Laure, remplacée à sa demande) fait le voyage avec l’acteur Yvon Dufour, directeur du théâtre aux Affaires culturelles. Le spectacle y remporte le deuxième prix d’appréciation du public, après un Ubu roi suédois. Voir : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/entrevue/355295/equation-pour-un-homme-actuel-michel-vais


De retour au Québec, les Saltimbanques gagnent leur procès en appel, mais doivent évacuer leur local du Vieux-Montréal, ne pouvant plus payer le loyer. La troupe s’associe aux Apprentis-Sorciers, alors dirigés par le comédien Jean-Pierre Saulnier, qui possédaient maintenant un local bien équipé, au 1297 rue Papineau, pour fonder le Centre du Théâtre d’Aujourd’hui. Se joignent au regroupement le Mouvement contemporain d’André Brassard et la troupe de mime de Michel Poletti. Vaïs joue là dans deux spectacles des Saltimbanques en 1968-69. D’abord, Tabarin-Tabarino, adaptation par Rodrig Mathieu d’une farce du moyen-âge, avec notamment le scénographe, éclairagiste et acteur Claude-André Roy dans le rôle-titre (il travaillera plus tard à Las Vegas avec Céline Dion et le Cirque du Soleil). Ensuite, il joue dans Tango de Slawomir Mrozek, avec entre autres l’acteur Jacques Crête, qui fondera le théâtre de l’Eskabel un peu plus tard. Les troupes constitutives du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui se dissolvent en même temps, au printemps 1969, faisant place au premier théâtre québécois se consacrant à la dramaturgie du Québec et du Canada.


Pour gagner sa vie, et rembourser ses dettes d’études, Vaïs donne des cours de français aux anglophones de la société de chemins de fer Canadien Pacifique. Il est aussi chargé de cours (teaching assistant) au département de français de l’Université McGill.

De gauche à droite : Vulpian dans Les Nourrices (mise en scène Rodrig Mathieu), Mitaro dans Fando et Lis (mise en scène Francine Noël) et Ménélas dans Les Troyennes (première mise en scène d'André Brassard) chez les Saltimbanques.

Picture
Picture

De gauche à droite : Haut -- Les Troyennes chez les Saltimbanques, Équation pour un homme actuel à l'Expo 67 ; bas -- le tableau « Érotomanies » d'Équation..., programme du Général inconnu au Café-Campus, programme d'Équation (1967).


Le spectacle Équation pour un homme actuel a fait l'objet d'une descente de l'Escouade de la moralité de la police de Montréal, suivie d'un procès rocambolesque, d'une condamnation en cour pour indécence des 9 comédiens jouant dans le 9e tableau (« Érotomanies »), puis, d'une reprise du spectacle à l'Université de Montréal et au Bateau-théâtre l'Escale, ensuite, d'une invitation au Festival de Nancy de 1968 (direction : Jack Lang), où la pièce a triomphé, enfin, d'un acquittement en cour d'appel un an plus tard. Cette histoire, racontée dans des articles parus dans JEU et dans L'accompagnateur. Parcours d'un critique de théâtre, a aussi fait l'objet d'un épisode de l'émission Aujourd'hui l'histoire à la radio de Radio-Canada le 13 mai 2021


Voir et écouter : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/entrevue/355295/equation-pour-un-homme-actuel-michel-vais


À ce sujet, il est très étonnant de lire, sur la page Wikipédia de Robert Toupin, qu'il aurait remporté « le Grand Prix du Festival International de Théâtre de Nancy pour la pièce Équation pour un homme actuel, dont il était le co-concepteur. FOUTAISE ! Robert était, comme moi, un des 11 interprètes de la pièce, qui n'était pas vraiment une création collective, puisque Pierre Moretti avait soumis des centaines de mots à un ordinateur de l'Université de Montréal, qui avait recraché des phrases selon une syntaxe primaire, que Moretti avait ensuite classées sous 16 différents thèmes, Rodrig Mathieu avait fait la mise en scène, Gilles Lalonde avait conçu les décors, etc.

Picture

Conférence sur les Saltimbanques et Équation... à Verchères, le 16 mars 2022.

Spectacle inaugural du Café Campus, en 1967.


Le Général inconnu, avec Louise Laprade, femme du Général.

Café Campus de l'Université de Montréal, 1967.

Le Général inconnu avec Denise Désautels en capitaine Kraspeck, agent triple.

Café Campus, 1967.

Spectacles de sketchs et de poésie

Plusieurs spectacles dans des boîtes à chansons en 1965-66-67, avec des sketches de Raymond Devos et de Jacques Bodoin, des poèmes de Prévert ou d'Henri Michaux,

4. Séjour en France

Muni de bourses lui permettant de s’inscrire au doctorat d’Études théâtrales de l’Université de Paris VIII à Vincennes, Vaïs passe quatre années à Paris, d’août 1970 à août 1974, avec sa compagne Jany Hogue. Il y assiste à quelque 300 pièces de théâtre. En 1969, 1970 et 1971, il est tout de même engagé à l’École française d’été de l’Université McGill par le directeur Jean Lerède, pour y donner des cours sur le théâtre, comme celui de « français vivant par l’action dramatique ». Il côtoie à l’École d’été des professeurs prestigieux : Edgar Morin, Lucien Goldman, Michel Ragon, l’abbé Marc Oraison, Maurice Descotes, Marcel Rioux, et des conférenciers connus, tels Michel Chartrand, Pierre Bourgault et René Lévesque.


Sous la direction du professeur André Veinstein, directeur du département, Vaïs soutient le 20 janvier 1974 sa thèse de doctorat d’études théâtrales, « Du littérateur dramatique à l’écrivain scénique. Les fonctions scéniques d’expression chez l’auteur de théâtre français depuis les années 1950 », reçue avec mention Très bien. Publiée quatre ans plus tard à Montréal sous le titre L’Écrivain scénique, l'ouvrage remporte le prix Révélation de l'Académie Nicola Sabbattini au Festival international du livre de Nice en mai 1978. Les autres membres du jury de thèse sont Maurice Descotes et Normand Leroux. Il s’agit de la première thèse de doctorat d’études théâtrales soutenue à Paris VIII.


Un événement vécu pendant ses études à Paris VIII suscitera un autre déclic marquant dans la vie de Vaïs et conduira à sa découverte du naturisme. Le professeur Albert Vander, qui donnait des cours de mime (il appelait cela du « corporel/gestuel » -- Voir Au maître nu de Stéphanette Vander), que Vaïs suivait en auditeur libre, dit un jour à ses étudiants que s’ils voulaient s’exprimer avec leur corps, ils devaient d’abord l’accepter. Et que la meilleure façon de l’accepter, c’était d’aller chez les naturistes ! Avec sa compagne, Vaïs sillonnera pendant trois ans la France naturiste, de la Bretagne à la Corse, des Landes à la région parisienne, en passant par les magnifiques sites de l’Ardèche ou de Provence, sans oublier les installations et activités naturistes urbaines : piscines, saunas, hammams.


De retour à Montréal, il découvre que des centres naturistes ont poussé un peu partout au Québec, installe une caravane à la Pommerie (Saint-Antoine-Abbé/Franklin) et y fonde la Fédération québécoise de naturisme (FQN) en 1977. Dès lors, ses deux passions – théâtre et naturisme – occuperont la majeure partie de ses activités, largement bénévoles.

Extraits du programme des

Belles-Sœurs à Paris

L'Espace Pierre Cardin, qui avait invité Les Belles-Sœurs à Paris en 1973, voulait un lexique joual-français, que Michel Vaïs a rédigé.


Thèse de doctorat d'études théâtrales, publiée en 1978 aux Presses de l'université du Québec. Elle contient notamment une entrevue exclusive avec Eugène Ionesco.

Prix Révélation de l’Académie Nicola Sabbatini, Festival du livre de Nice (1978).

L'Écrivain scénique

Parution en 1978, aux Presses de l'Université du Québec.

L'Écrivain scénique

En annexe, une entrevue avec Eugène Ionesco.

5. Enseignement, animation, associations

AQCT, JEU, FQN, AICT...

Après avoir repris son travail de professeur de français langue seconde pendant deux ans au Canadien National (1974-1976), en donnant quelques charges de cours en théâtre à l’Université de Montréal, Vaïs décroche un poste de professeur adjoint invité (Visiting Assistant Professor) au département d’études françaises de l’Université McGill, où il restera cinq ans en tant que spécialiste en théâtre. En 1976 sont fondés les Cahiers de théâtre JEU, dont il devient collaborateur dès le numéro 1, puis membre de l’équipe de rédaction et du conseil d’administration en 1978.


Président de la FQN (1977-1984), puis vice-président, il la fait adhérer à la Fédération naturiste internationale (FNI) en 1981 et participe aux congrès mondiaux de 1982 (Cypress Cove, Floride) et 1984 (Costa Natura, Espagne). Il incite aussi les Canadiens anglais à se doter d’une fédération naturiste (la Federation of Canadian NaturistsFCN) et crée avec eux en 1986 l’Union FQN-FCN, qui désormais représente les deux fédérations auprès de la FNI. À la FQN, il crée le bulletin d’information qui deviendra Les Informations naturistes québécoises, puis la revue trimestrielle Au naturel. En 2001, il fonde le magazine privé bisannuel Naturisme Québec, qui publiera 7 numéros vendus en kiosque. Il collabore aussi à des magazines naturistes étrangers : La Vie au Soleil, Nat’Info, Naturisme Magazine en France, Clothed With the Sun et Nude & Natural aux États-Unis, ainsi que Going Natural au Canada anglais, mais il traite également de naturisme dans Loisir-Presse, Montréal ce mois-ci et le Journal d’Outremont. Depuis 2005, il est corédacteur en chef de Going Natural/Au naturel, le magazine bilingue de la FQN et de la FCN. Il préside aussi la Fondation naturiste du Québec de 1997 à 2012, alors qu’elle se dissout et fait don de ses fonds à la FQN.


À JEU, Vaïs devient directeur de la revue (1993-1996), président des Éditions Jeu (il a notamment dirigé la publication de L'Album du Théâtre du Nouveau Monde), rédacteur en chef (2002-11), rédacteur émérite (2011-), président du CA (2002-2009, puis en 2019-2020). Cofondateur de l’Association québécoise des critiques de théâtre (1984), qu’il préside (1987-94), il crée la remise publique des prix de la critique et préside à l'adoption d'un Code d'éthique. Puis, il fait adhérer l’AQCT à l’Association internationale des critiques de théâtre – AICT (1992). Élu au Comité exécutif en 1994, il devient trésorier général (1994-1996), puis vice-président (1996-1998), enfin secrétaire général (1998-2022), puis secrétaire général honoraire. L'AICT a adopté un Code de pratique en 2010, inspiré de celui du Québec, qui a été traduit dans deux douzaines de langues. À titre de secrétaire général de l'AICT, Vaïs a fait équipe avec les présidents Georges Banu (1994-2001), Ian Herbert (élu au Congrès de l'AICT à Montréal, 2001-2008), Yun-Cheol Kim (2008-2014), Margareta Sörenson (2014-2021), Jeffrey Eric Jenkins (2021-). Responsable du stage pour jeunes critiques de Saguenay (2008), il est coresponsable de celui de Limoges (2018).


Membre de l’Union des Artistes, de la Société québécoise d’études théâtrales et de l’Association internationale des études québécoises, Vaïs est aussi membre du comité de lecture du Centre d’essai des auteurs dramatiques (1977-78), expert-conseil pour la Conférence des recteurs et des principaux d’universités du Québec (1982), membre du comité de stratégie de la Coalition du monde des arts (1988-1989), membre du CA de la Société de développement des périodiques culturels, conférencier invité dans plusieurs cégeps et universités, au Québec, en Pologne (1998), en Corée (1999, 2006), en Croatie (2001), en Espagne (2002), en Russie (2004), en Hongrie, en Bulgarie et au Japon (2005), en Inde (2010), en Serbie et en Hongrie (2010), en Azerbaïdjan (2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2018), conseiller au ministère de la Culture d’Azerbaïdjan et du Sultanat d’Oman.


Responsable du contenu francophone de la revue Web de l’AICT Critical Stages/Scènes critiques depuis sa fondation en 2009, il est secrétaire-trésorier, puis président de la Société pour le développement du Musée des arts du spectacle vivant, nommé par le ministre des Communications du Canada (1990-2008), puis président de TRACES, Table de Réflexion pour l’Archivage, la Conservation et l’Éducation sur le Spectacle (2008-).


Animant les rencontres du Prix Europe pour le théâtre de 2007 (Thessalonique), avec Robert Lepage et ses collaborateurs, il coordonne le colloque des chercheurs sur Lepage. Consultant en recherche muséologique pour la Banque Nationale du Canada et l’Agence Foug (1993), il effectue des recherches pour la mise à jour du Répertoire des ressources théâtrales au Canada (1991).

Chroniqueur de théâtre bénévole au poste CKUT – McGill (nov. 1990 - juin 93) et à CISM – U. de M. (1991-92), il anime pour la revue JEU « Entrée libre », des soirées de discussion entre praticiens et théoriciens du théâtre (1984-86, puis 1996-2014).


Outre l’Université McGill, Vaïs est six mois professeur substitut au Collège Lionel-Groulx (1983), un an à l’UQÀM, département Théâtre et Danse, comme professeur invité (1983-84) et neuf autres années chargé de cours en théâtre et en français à l’U. de M., McGill, l’UQÀM, etc., entre 1968 et 1983, puis en 1991.


Verbicruciste (inventeur de mots croisés thématiques) pour JEU et, en 1996 et 1997, pour la Commission de la Capitale nationale du Canada, Vaïs est co-auteur – avec Philip Wickham – de l’affiche L’Arbre du théâtre québécois (2002) et directeur littéraire du Dictionnaire des artistes du théâtre québécois (Jeu/Québec Amériques, 2008).


Membre de la Commission consultative de la revue portugaise Sinais de Cena (Signes de scène, 2003-), du Comité des sages du Théâtre le Petit Chaplin (2004), il fait partie du Advisory Board for the International Bibliography of Theatre (IBT) de EBSCO Publishing Inc. (2004-).

Magazine de la FQN, Au naturel

Après de nombreuses années, ce magazine fondé en 1982, à la suite des Informations naturistes québécoises, a cessé de paraître. Il a été suivi par Naturisme Québec (2001-2006), puis par le magazine bilingue Going Natural/Au naturel, publié en collaboration avec la Federation of Canadian Naturists.

Picture

Promotion du naturisme

Cet article paru dans The Gazette à Montréal le jour de mon anniversaire, le 20 janvier 1991, a valu à son auteur le prix du meilleur article sur le naturisme décerné par la Fédération naturiste internationale.


L'aventure de Naturisme Québec

Le distributeur habituel, Les Messageries de presse Benjamin, a refusé de faire circuler dans les kiosques à journaux ce numéro du magazine avec un dossier étoffé sur « Le nu et les enfants », à cause de la présence d'un enfant nu en couverture. Pourtant, ce même enfant, avec ses parents également nus, avait fait la couverture du même magazine quelques numéros auparavant. Finalement, la distribution de ce numéro a eu lieu par correspondance et en ligne, si bien qu'un plus grand nombre d'exemplaires que d'habitude en ont été vendus.

Apéro musical à La Pommerie


L'Arbre du théâtre québécois

Cette affiche, proposée par Philip Wickham, membre de la rédaction de la revue Jeu, à laquelle nous avons travaillé pendant deux ans avec l'équipe, a paru à l'occasion des 25 ans de la revue en 2001, après deux esquisses préliminaires (dont une est encartée dans Jeu 100). Elle a précédé de 5 ans la parution du Dictionnaire des artistes du théâtre québécois.

Picture

Comité de rédaction de la revue JEU, années 1980.

Metteur en scène, auteur, critique

Affiches des Larmes de l'aveugle à l'UQÀM et de L'Erreur par la Ruelle mondaine, communiqué de la remise des prix de la critique de 1988. Sur la photo, Lorraine Pintal reçoit le prix de la mise en scène pour Le Syndrome de Cézanne par le Théâtre de La Rallonge.

Remise des prix de la critique

Cette remise de prix de l'Association québécoise des critiques de théâtre a eu lieu le 5 novembre 1988, dans le hall d'honneur de l'Hôtel de ville de Montréal. Avaient contribué à l'événement, suivi d'une réception, des partenaires privés, ainsi que le Conseil québécois du théâtre, l'Union des artistes et le regroupement des compagnies théâtrales dites institutionnelles, Théâtres Associés.

Taormina 2001 avec Michel Piccoli

Michel Piccoli, qui recevait en 2001 le prix Europe pour le théâtre, est entouré, à gauche, de la critique turque Zeynep Oral, et à droite, de Michel Vaïs et Georges Banu, président du jury du prix Europe.

Prix Europe 2007 à Robert Lepage

L'entrevue publique avec Robert Lepage, à Thessalonique, en Grèce, en avril 2007, a souligné la remise du Prix Europe pour le théâtre, accordé pour la première fois à un artiste dont la base de travail était à l'extérieur de l'Europe. Le prix lui a été accordé ex-æquo avec Peter Zadek, lequel s'est cependant vu retirer son prix car il avait refusé de se rendre à cet événement prestigieux, prétendant être trop occupé en Allemagne. L'importante bourse associée au prix ne lui a donc pas été remise, et Lepage a ainsi pu prendre toute la place, présentant un spectacle composé d'extraits de pièces récentes (La Face cachée de la lune, Lipsynch, où Lepage jouait lui-même le rôle d'une infirmière...). Lepage a aussi bénéficié à Thessalonique d'un colloque de critiques de théâtre, d'un autre réunissant des chercheurs universitaires, et d'une longue entrevue publique. Une trentaine de ses collaborateurs, venus du monde entier, étaient présents.


Robert Lepage fut le plus jeune récipiendaire du prix Europe pour le théâtre, après Ariane Mnouchkine. D'autres lauréats prestigieux furent Bob Wilson, Peter Brook, Pina Bausch, Lev Dodine, Michel Piccoli, etc.


Audio de l'entrevue publique :

https://revuejeu.org/2012/09/24/robert-lepage-a-thessalonique/

6. Carrière (surtout) radiophonique

21 ans de radio

À l’invitation du réalisateur Claude Godin, Vaïs débute une carrière radiophonique en janvier 1980 à la chaîne culturelle radio de Radio-Canada. Jusqu’à mai 2001, il participe à trente-six séries d’émissions différentes, en français à la Chaîne culturelle et en anglais au poste CBC-AM et FM, à titre de chroniqueur, d’animateur-intervieweur, de recherchiste, de réalisateur et de critique de théâtre :


À la Chaîne culturelle de Radio-Canada : L’Art aujourd’hui, Actuelles, Documents, Questions de notre temps, la Quinzaine internationale du théâtre, le Festival de théâtre des Amériques, le Prix Paul-Gilson, Présence de l’art, Relèves, Portrait culturel de l’année, les Trésors du théâtre, Théâtre du lundi, Au cœur de l’été, Théâtre en fête, le Magazine international des arts, Parlons théâtre, Latitudes (série sur « L’Autre Amérique »), En scène, Midi-culture, la Grande Scène du dimanche, Qui êtes-vous ?, Hebdo-Culture, Sans frontières, À l’écran, Coup de théâtre, Plage-culture, Info-culture, Un dimanche à la radio, Aux arts etc. (Réalisateurs : Claude Godin, Jean-Pierre Saulnier, Raymond Fafard, Gilbert Picard, Jean Lacroix, Gérard Binet, Fernand Ouellette, André Major, André Corriveau, Claude Mercier, Aline Legrand, Gilles Archambault, Jane Lewis, Susan Feldman, Mary Stinson, Line Meloche, Lise Létourneau, André Vigeant, Francine Laurendeau, Diane Maheux, Marie-Claude Senécal, Colette Mersy et Michel Vaïs.)

À CBC-AM et FM : Sunday Morning, State of the Arts, Stereo Morning, The Arts Tonight, Saturday Spotlight, Radio Noon.

Pour Radio-France, la Radio-Suisse romande et la Radiotélévision belge : Correspondances, le Pont des arts.

Aussi, pour la Télé-Université du Québec :

« À la découverte du théâtre », en collaboration avec Lorraine Hébert ; série d’émissions sur la première Quinzaine internationale du théâtre de Québec (1984).

« Conteurs et nouvellistes québécois : de Fred Pellerin à Louis Fréchette », interventions dans le cours de Yan Hamel, DVD et site Web, 2011.

À la télévision de Radio-Canada : « La vie d’artiste », sur le Théâtre du Rideau Vert (janvier-février 1999). Réalisation : Jean Barbe.

La Grande Scène

du dimanche

Du 3 septembre 1993 à juin 1994, cette émission d'une heure et quart était présentée en direct tous les dimanches, après les nouvelles de midi.

Émissions en direct à la Chaîne culturelle, le 27 mars : 4 heures la première année, 3 heures la deuxième, 2 heures la troisième, enfin 1 heure la dernière année de diffusion, avant de disparaître définitivement...


7. Rôles au théâtre, mises en scène

RÔLES

Les Saltimbanques : Le Satyre de la Villette, Pile, L’Équarrissage pour tous, Opéra noir, Les Nourrices, Les Troyennes, Les Bâtisseurs d’empire, Fando et Lis, Équation pour un homme actuel, Tabarin-Tabarino, Tango.

Nouveau Théâtre universitaire : La Tête des autres, L’Afficheur hurle, Le Dernier des métiers.

L’Eskabel : India Song.

McGill : Les Crabes.



MISES EN SCÈNE

Université de Montréal : Les Précieuses ridicules, Le Général inconnu.

U. McGill : Les Nourrices, L’Air du large, Fando et Lis, Les Crabes.

UQÀM : Les Larmes de l’aveugle.

Théâtre Acte 3 : La Chevauchée sur le lac de Constance.

Spectacle présenté en

sept.-oct. 1984


« La Chevauchée... » par le Théâtre Acte 3

Cette pièce, présentée en création québécoise, a été donnée dans le jardin intérieur du Collège de Maisonneuve, à Montréal. Le dessin est de Guy Lapierre, scénographe.

8. Études

B.A., Lettres (U. de Montréal, 1967) ; M.A., Lettres (McGill, 1970) ; Doctorat de 3e cycle ès études théâtrales (U. de Paris VIII, 1974 : mention Très Bien). Certificat de traduction, cours d’italien (McGill) ; cours de révision (Soc. des traducteurs du Québec/U. de M.).

9. Prêts, bourses

Prêts d’Honneur de la Société Saint-Jean-Baptiste et prêts-bourses du Gouvernement du Québec (1964-69) ; bourse de doctorat du CAC et du Consulat de France à Montréal (1970-73) ; bourse de perfectionnement dans le domaine des arts du Gouv. du Québec (1973-74) ; bourse de recherche de courte durée, CAC (1980) ; deux « petites bourses » pour ouvrage de « non-fiction », CAC (1990 et 1991) ; bourse A du CALQ (2002, 2008) ; Bourse d’écriture du CAC (2010).

Bourses, subventions de voyage : Affaires extérieures Canada (’92); Aff. étrangères (’94,’96,’98) ; ministre de la Culture du Québec (’97,’98) ; ministère des Relations internationales du Québec (mai et octobre 2000) ; CAC (’88,’98,’99,’00,’01,’03,’05,’07,’09,’10) ; CALQ (mai 2003) ; Association internationale des études québécoises (’02,’04, mars ’06, oct. ’06, avril ’08, sept. ’09, oct. ’10, déc. ’11). Bourse du député provincial d’Outremont pour travail bénévole (200$), mai 2013.

10. Participation à des jurys

Membre du comité de sélection du Festival de théâtre des Amériques et membre du jury pour le concours de création québécoise (1985) ; organisateur des prix de l’Association québécoise des critiques de théâtre (1986-94) ; concours des œuvres dramatiques radiophoniques de Radio-Canada (1986 et 1987) ; Prix d’excellence des périodiques culturels de l’Association des éditeurs de périodiques culturels québécois (1990) ; Prix du Gouverneur général du Canada, catégorie théâtre francophone (1988, 1989, 1990, et président du jury en 1990) ; Prix Athanase-David (1990 et 1991) ; sélection québécoise pour la Quadriennale de Prague (1991) ; Regroupement des artisans et artisanes du théâtre amateur de Montréal (RAATAM – 1992 : président du jury) ; 15e Festival international de théâtre expérimental du Caire (2003) ; Festival montréalais du théâtre amateur (2006) ; Prix de presse de la Fondation naturiste du Québec (2005-2011) ; Prix Europe, Nouvelles Réalités théâtrales (2007, 2008, 2009, 2011) ; Prix Thalie de l’AICT (2006, 2008, 2010, 2012) ; Prix de la critique, 29e Festival international de théâtre Fadjr de Téhéran (2011) ; Président du jury de la critique, Festival international de théâtre MESS de Sarajevo (2012) ; Prix de la Banque Taishin, Taipei chinois (Taïwan) (mai 2013) ; Festival du Théâtre National de Bucarest, Roumanie (octobre 2013) ; Prix d’excellence et Prix Hommage de la Sodep (Société de développement des périodiques culturels québécois, mai 2017) ; Président du jury du Festival Nová Dráma de Bratislava (mai 2017) ; Membre du jury du Premier Combat des contes (Festival interculturel du conte du Québec, octobre 2019).

11. Prix, distinctions

• Prix Révélation de l’Académie Nicola Sabbatini, Festival du livre de Nice (1978), pour L’Écrivain scénique, publié aux Presses de l’Université du Québec.

• Prix Jean-Béraud pour la critique, catégorie médias électroniques (1987-1988), décerné par un jury indépendant à l’équipe de production de « Théâtre en fête », émission de radio de quatre heures proposée, conçue et coanimée par Michel Vaïs.

• Prix Jean-Béraud/meilleure critique de spectacle — revues (1989-1990) pour Le Bourgeois gentilhomme (Jeu 54).

• Prix Jean-Béraud/meilleure émission de radio (1991-1992) pour « En scène » sur le Théâtre de La Marmaille, 10 juin 1991.

• Prix Jean-Béraud/meilleure critique de spectacle (1992-1993) pour « Deux visions des Bonnes : à Montréal et à Moscou » (Jeu 65).

• Médaille d’or du Rayonnement culturel décerné par la Renaissance française (mai 1997).

• Prix Hommage 2016 de la Société de développement des périodiques culturels québécois (SODEP).


L'Association québécoise des critiques de théâtre a créé en 2010 la bourse Michel Vaïs accordée à de jeunes critiques québécois désirant prendre part à un stage pour jeunes critiques organisé par l'Association internationale des critiques de théâtre à l'étranger.

Conférence à Taipei

Invité en mai 2013 comme membre du jury du prix de la Banque Taishin, Michel Vaïs en a profité pour donner une conférence sur l'éthique de la critique dramatique.


À Taipei, j'ai eu l'occasion de donner en public un court sketch de Raymond Devos (« Sévère mais juste »), en anglais, qui a été traduit en mandarin pour les invités du président de la banque Taishin. Et tout le monde a ri...!

12. Missions à l’étranger

Conférences lorsque indiqué*, en français, anglais ou espagnol.

1988 (avril) : Paris* ; 1988 (septembre) : Charleville-Mézières (France) ; 1992 (octobre) : Varsovie* et Moscou ; 1994 (mars) : Montevideo* (Uruguay) ; 1994 (novembre) : Lisbonne* ; 1995 (mars) : Paris* ; 1996 (octobre) : Helsinki* (Finlande) ; 1997 (janvier) : Taormina (Italie) ; 1997 (septembre) : Séoul* (Corée du Sud) ; 1998 (avril) : Taormina ; 1998 (octobre) : Gdansk* et Varsovie* (Pologne) ; 1999 (mai) : Taormina ; 1999 (septembre) : Séoul ; 1999 (novembre) : Paris* ; 2000 (avril) : Taormina ; 2000 (septembre) : Vilnius (Lituanie), Ryga (Lettonie), Tallinn (Estonie) et Saint-Pétersbourg ; 2001 (avril) : Taormina ; 2001 (octobre) : Saint-Pétersbourg, Tartou (Estonie) et Zagreb* (Croatie) ; 2002 (juin) : Houston et Chicago ; 2002 (juillet) : Séoul* ; 2002 (septembre) : Limoges (France) ; 2002 (octobre) : Valence* (Espagne) ; 2002 (décembre) : Florence (Italie) ; 2003 (mai) : Paris ; 2003 (juin) : Novi Sad* (Serbie et Montenegro) ; 2003 (septembre) : Le Caire (Égypte) ; 2003 (octobre) : Sofia* (Bulgarie) ; 2003 (novembre) : Bucarest* (Roumanie) ; 2004 (mars) : Moscou* ; 2004 (novembre) : Plovdiv (Bulgarie) ; 2005 (avril) : Budapest* (Hongrie) et Umeå* (Suède) ; 2005 (octobre) : Reus (Espagne) ; 2006 (mars) : Turin, Tokyo* ; 2006 (mai) : Guanajuato*, Mexique ; 2006 (octobre) : Séoul* ; 2007 (avril) Thessalonique* ; 2007 (juillet) : Almada (Portugal) ; 2007 (août) : Santiago* (Chili) ; 2007 (octobre) : Saint-Pétersbourg ; 2007 (décembre) : Pékin* ; 2008 (avril) : Thessalonique, Sofia* ; 2008 (mai) : Craiova* (Roumanie) ; 2009 (avril) : Wroclaw (Pologne) ; 2009 (mai) : Francfort (Allemagne) et Novi Sad* (Serbie) ; 2009 (juillet) Turin ; 2009 (septembre) : Pilsen* (Rép. Tchèque) ; 2009 (novembre) : Barcelone ; 2010 (janvier) : Vallabh Vidyanagar/Ahmedabad* (Inde) ; 2010 (avril) : Craiova* (Roumanie) ; 2010 (juin) : Erevan (Arménie) ; 2010 (septembre) : Omsk* (Russie) ; 2010 (octobre) : Budapest* (Hongrie), Maribor* (Slovénie) et Belgrade* (Serbie) ; 2010 (novembre) : Bakou* (Azerbaïdjan) ; 2010 (décembre) : Caen* (France) ; 2011 (février) : Téhéran (Iran) ; 2011 (avril) : Saint-Pétersbourg (Russie) ; 2011 (mai) : Gävle* (Suède) ; 2011 (septembre) Tbilissi* (Géorgie) ; 2011 (octobre) : Varsovie ; 2011 (octobre) : Bakou* ; 2011 (décembre) : Santiago (Chili) et Rosario* (Argentine) ; 2012 (janvier) : Fujaïrah (ÉAU) ; 2012 (mars) : Varsovie* ; 2012 (avril) : Toronto ; 2012 (avril) : Craiova* ; 2012 (juillet) : Vendaÿs-Montalivet* (France) ; 2012 (septembre) : Sarajevo ; 2012 (octobre) : Chicago ; 2012 (novembre) : Bakou ; 2013 (février) : Caen* (France) ; 2013 (mai) : Taipei* (Taipei chinois, ou Taïwan) ; 2013 (mai) : Jönköping* (Suède) ; 2013 (octobre) : Bucarest* (Roumanie) ; 2013 (novembre) : Bakou (Azerbaïdjan) ; 2014 (mars) : Caen* (France) ; 2014 (avril) : Craiova* (Roumanie) ; 2014 (mai) : Pékin* ; 2014 (octobre) : Pékin* ; 2014 (novembre) : Istanbul* ; 2014 (novembre) : Bakou* ; 2014 (novembre) : Erevan (Arménie) ; 2014 (novembre) : Cluj (Roumanie) ; 2015 (mai) : Malmö (Suède) ; 2015 (octobre) : Tbilissi (Géorgie) ; 2015 (décembre) : Nizwa (Oman) ; 2016 (avril) : Craiova* (Roumanie) ; 2016 (septembre) : Belgrade* (Serbie) ; 2016 (octobre) : WuZhen* (Chine) ; 2017 (mai) : Bratislava* (Slovaquie), Norrköping (Suède) et Bucarest* (Roumanie) ; 2017 (septembre) : Le Caire* (Égypte) ; 2017 (octobre) : Tbilissi (Géorgie) ; 2017 (décembre) : Tunis* ; 2017 (décembre) : Rome ; 2018 (février) : Fujaïrah (ÉAU) ; 2018 (avril) : Craiova* ; 2018 (juin) : Limoges* (France) ; 2018 (octobre) : Paris ; 2018 (novembre) : Bakou* ; 2018 (novembre) : Saint-Pétersbourg* ; 2019 (juin) : Montpellier (France) ; 2019 (septembre) : Pékin* ; 2019 (octobre) : Chicago ; 2022 (mai) : Craiova*.

Comité exécutif de l'AICT en 2020

Réunion par Zoom du COMEX de l'AICT le 17 octobre 2020.

De gauche à droite, en commençant par le haut :

Emmanuel Dandaura, vice-président (Nigéria), Michel Vaïs, secrétaire général (Québec), Jean-Pierre Han, vice-président (France), Margareta Sörenson, présidente (Suède), Stéphane Gilbart, trésorier (Luxembourg), Jeffrey Eric Jenkins, vice-président (É-U), Irina Gogoberidzé (Géorgie), Savas Patsalidis, rédacteur en chef de la revue Web Critical Stages/Scènes critiques [critical-stages.org] (Grèce), Deepa Punjani (Inde), Octavian Saiu, secrétaire général adjoint (Roumanie/Nouvelle-Zélande), Mariko Anazawa (Japon), Zuzana Ulicianska (Slovaquie), Ragip Ertugrul (Turquie), Ivan Medenica (Serbie), Natalia Tvaltchrelidze, adjointe médias sociaux (Géorgie), Peng Tao (Chine). Depuis mars 2022, Michel Vaïs est devenu secrétaire général honoraire de l'AICT. Sa successeure est Natalia Tvaltchrelidze, de Géorgie.

Consultant en Azerbaïdjan

Voici une photo dans le bureau du ministre de la Culture d'Azerbaïdjan, prise le 8 novembre 2018. Au centre, le ministre, Abulfas Garayev Mursal oglu. Selon Wikipédia, ce dernier a été limogé le 22 mai 2020 par le président Ilham Aliyev, pour corruption. J'avais aussi été consultant auprès de son prédécesseur et du prédécesseur de son prédécesseur.

Bibliographie

13. Publications

13.1 Œuvres de fiction

13.2 Essais

13.3 Contributions à un ouvrage collectif

13.4 Direction d’un ouvrage collectif

13.5 Traductions

13.6 Programmes

13.7 Préfaces

13.8 Principaux articles

13.9 Comptes rendus et critiques

13.10 Mémoire et thèse


Cui-cui, 1966.

13.1 Œuvres de fiction

Cui-Cui, pièce en un acte, La Barre du jour No7, Montréal, été 1966. (Jouée à la télévision de Radio-Canada le 31 juillet 1966 à 21h.)



L’Erreur, pièce radiophonique en un acte, 1981, inédite. Retenue par le Centre d’essai des auteurs dramatiques, jouée à la radio étudiante de l’Université de Moncton (1985) et par La Ruelle mondaine au Théâtre le Faux-Bourgeois de Montréal (1988).

Paru aux Éditions Varia, Montréal, 2005.

L'accompagnateur. Parcours d'un critique de théâtre


En couverture

Verso : Mitaro dans Fando et Lis d'Arrabal aux Saltimbanques (1966).

Recto : Avec Monique Duplantie dans la création mondiale d'India Song, à l'Eskabel (1979).

L'accompagnateur. Parcours d'un critique de théâtre

Table des matières (Suite)

Chapitre 17 -- Le sexe sur scène............................................. 337

Le théâtre au labo ..................................................................... 339

Vrai ou faux?............................................................................... 344

Chapitre 18 -- Le théâtre estival.............................................. 347

Le répertoire ............................................................................... 350

Le public ....................................................................................... 352

La réalité économique............................................................... 354

L’accueil critique ........................................................................ 356

Conclusion -- Fixer les traces.................................................... 359

Œuvre de mémoire...................................................................... 361

Où va le théâtre... et la critique ?............................................. 364

Index ............................................................................................... 367

Liste des illustrations ................................................................. 381

Picture

13.2 Essais


• Vaïs, Michel, Jeux et activités pédagogiques/Enseignement du français langue seconde, Montréal, CN/Air Canada, 1976, 93 p.

• Vaïs, Michel, L’Écrivain scénique, Montréal, Presses de l’Université du Québec, 1978, 278 p., ill. (Prix « Révélation », Académie Nicola Sabbattini, Festival international du livre de Nice, mai 1978.)

• Vaïs, Michel, L’accompagnateur. Parcours d’un critique de théâtre, préface de Lorraine Pintal, Montréal, Éditions Varia, novembre 2005, 384 p., ill.

• Vaïs, Michel, Nu, simplement. Nudité, nudisme et naturisme, préface de Diane Archambault, Montréal, Éditions Triptyque, février 2012, 212 p. ill.

Parution : Éditions Triptyque, Montréal, 2012

Nu, simplement

Table des matières (suite)

Chapitre 7

Les seins nus / Interpréter un geste libre / Amplification du mouvement / Le point de vue naturiste / L’affaire Coldin

Chapitre 8

Ce qui se passe entre les oreilles / Érection et apaisement / La femme objet / Puritanisme et pornographie

Chapitre 9

Le nu sain / Le vêtement, ami ou ennemi / Et la couche d’ozone ? /

Ne jamais brûler / Du bon usage du soleil / Les avantages du bronzage naturel

Chapitre 10

Objections courantes / Écologie et parures / Zones sensibles ou érogènes ? / Place aux femmes / La dame dans le train

Chapitre 11

Petite histoire du naturisme mondial: Les débuts / Les pionniers français/ Ailleurs en Europe, et dans le monde / Caraïbes (de Cuba aux petites Antilles) / La situation au Québec et au Canada / Les plages libres / Les fédérations / Nudisme ou naturisme? / Minorités naturistes

Pour conclure

Picture

Lancement de Nu, simplement au restaurant La Petite Marche, rue Saint-Denis à Montréal, le 6 mars 2012.

Picture

https://www.lapresse.ca/vivre/dossiers/mieux-vivre/201203/02/01-4501701-moi-mon-bonheur-nu-tout-simplement.php -- Article paru dans La Presse à Montréal

Entrevues télé & audio sur le naturisme

Entrevue accordée à Dominique Lajeunesse pour Radio-Canada en 1987 :

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1802099/naturisme-quebec-canada-archives?fbclid=IwAR0Ra15oGlHiy-aPGgEINaa1KBV4GUhGsnA1y5QVioC-MRatP_K1xQwFdGA


Entrevue sur le naturisme avec Royal du Perron en 2001, à Zone Culture :

https://www.youtube.com/watch?v=8CG8f6jU8IU


Bref discours inclus dans le reportage de Zone Culture, à l’occasion du lancement du livre Nu, simplement le 12 juin 2012, au restaurant La Petite Marche à Montréal, en présence de plusieurs personnages dont le portrait est esquissé dans l’ouvrage :

https://www.youtube.com/watch?v=uJQoKVn4_Xk


Entrevue avec Royal du Perron pour Zone Culture à l’occasion du lancement de Nu, simplement. Nudité, nudisme et naturisme (Varia, 2012) :

https://www.youtube.com/watch?v=38EsM7BwcfI


Entrevue sonore avec Stéphane Deschênes, du blogue Naturist Living Show (40 000 auditeurs par mois), le 11 avril 2013, Épisode XXXV, sur « Quebec Naturism » :

https://www.youtube.com/watch?v=I-Lt3KngC0w

Picture

Boucar Diouf a traité de naturisme à son émission de radio du 24 mai 2014.

Engagement envers l'homéopathie

En 1985, une section d'affinité de la Fédération québécoise de naturisme a été créée : le Regroupement des usagers de l'homéopathie, devenue plus tard Les amis de l'homéopathie. Des articles ont paru dans le magazine Au naturel, signés Céline Goudreault, Michel Vaïs et le Dr Yves Wuidart dans les numéros 14, 22 et 23 du magazine à partir de 1983.

13.3 Contributions à un ouvrage collectif

• « L’auteur dramatique et la production théâtrale au Québec depuis 1948 », in Aspects du théâtre québécois, Annales du 45e Congrès de l’ACFAS, UQTR, 1978.

• « Dix ans de recherche québécoise sur le théâtre français des XIX e et XX e siècles », Cahiers d’analyse de l’ACFAS No 4, 1980.

• « L’accueil fait au théâtre québécois en Europe », in Lectures européennes de la littérature québécoise, Montréal, Leméac, 1982, 12p.

• « Le théâtre québécois — une voix distincte en Amérique », paru en langue allemande in Catalogue du Festival d’art canadien O-Kanada de Berlin, 1982.

• « Équation pour un homme actuel », Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec IV, 1960-1969, Fides, Montréal, mars 1984, 2p.

• « Theatre in Quebec » in Contemporary Canadian Theatre: New World Visions, Toronto, Simon & Pierre, 1985, 10p.

Trois articles dans The Oxford Companion to Canadian Theatre, sur les Saltimbanques, l’Eskabel et Équation pour un homme actuel, Toronto, Oxford University Press, 1989.

• « Ma saison » in Veilleurs de nuit, Montréal, Les Herbes rouges, 1989.

• « Dialogue de critiques au quotidien », (table ronde) in Veilleurs de nuit 3, Montréal, Les Herbes rouges, 1991.

• « Sur fond de récession, table ronde des critiques de quotidien », Veilleurs de nuit 4, Montréal, Les Herbes rouges, 1992, 16p.

• « La saison 1993-1994 au Québec », L’Année du théâtre, Paris, Hachette, 1994.

• « Vingt et un ans de pérégrinations », L’Album du Théâtre du Nouveau Monde, Montréal, Éditions Jeu, 1997 (15p./133). Aussi : responsable de l’édition.

• « Théâtre du Rideau Vert », The 2000 Canadian Encyclopedia World Edition/L’Encyclopédie canadienne bilingue, McClelland & Stewart, 1999, 3 p.

• « Langue et théâtre au Québec », Le Français au Québec. 400 ans d’histoire et de vie, Fides/Les Publications du Québec, 2000, 1 p.

• « La critique théâtrale au Québec », The 2001 Canadian Encyclopedia World Edition / L’Encyclopédie canadienne bilingue, McClelland & Stewart, 2001, 5 p.

• « Ce théâtre qui nous change », Actes du colloque du 21e Congrès de l’Association internationale des critiques de théâtre, UNITER, Bucarest (Roumanie), mars 2006, 4p.

• « Décrire ou juger ? », Actes du Congrès extraordinaire 50e anniversaire, Association internationale des critiques de théâtre, Séoul (Corée), 21-25 octobre 2006, 6p.

• "The Power of an Imaginary China" (sur Robert Lepage, La Trilogie des dragons et Le Dragon blanc), Actes du colloque de l’Académie théâtrale de Pékin, in Drama. The Journal of the Central Academy of Drama de Pékin, 2008, 4p.

• "Putting the Citizen First", Actes du colloque "Theatre and Humanism in a World of Violence", Edited by Ian Herbert and Kalina Stefanova, Sofia (Bulgarie), St. Kliment Ohridski University Press, 2009, 4p.

• "About the Phenomenon of Theatre", by Nasrollah Ghaderi (« Le jeu non réaliste : l’approche de Vitez, Régy, Nekrosius»), en français et en farsi, ITI/Festival de théâtre Fadjr de Téhéran, 2011, 4p.

• « Témoignage : Maria Helena et l’AICT », dans Rastos luminosos em palcos do tempo. Homenagem a Maria Helena Serôdio, Centro de Estudos de Teatro, 2018, Lisbonne, 2018, 2p.

13.4 Direction d’un ouvrage collectif

Dictionnaire des artistes du théâtre québécois, Jeu/Québec Amérique, sept. 2008, 422 p., ill.

Entrevue avec Royal du Perron pour Zone Culture à l’occasion du lancement de l'ouvrage, le 25 septembre 2008, au Théâtre d’Aujourd’hui :

https://www.youtube.com/watch?v=xdBLoGoY0Dg

Le Dictionnaire fait régulièrement l'objet d'une mise à jour, notamment lorsqu'un ou une artiste ayant une entrée décède, ou lorsqu'on signale à l'auteur des erreurs ou des oublis. Voir sur le site Web de la revue JEU, ici.

Décès

Trente-huit artistes ayant une entrée dans le Dictionnaire sont décédés depuis la parution :

Jean Herbiet, le 31 mars 2008, à Ottawa

Paul Bussières, le 19 juillet 2008, à Québec

Amulette Garneau, le 7 novembre 2008, à Montréal

Micheline Legendre, le 5 janvier 2010, à Montréal

Jean Dalmain, le 28 mars 2010, à Longueuil (?)

Marthe Turgeon, le 28 août 2011, à Montréal

Jean Faucher, le 1er février 2013, à Montréal

Huguette Oligny, le 9 mai 2013, à Montréal

Hélène Loiselle, le 7 août 2013, à Sainte-Adèle

Jean-Louis Roux, le 28 novembre 2013, à Montréal

Catherine Bégin, le 30 décembre 2013, à Montréal

Marjolaine Hébert, le 28 juillet 2014, à Longueuil

Gilles Latulippe, le 23 septembre 2014, à Montréal

Françoise Graton, le 7 novembre 2014, à Montréal

Paul Buissonneau, le 30 novembre 2014, à Montréal

Monique Joly, le 7 juillet 2015, à Montréal

François Barbeau, le 28 janvier 2016, à Montréal

Claude Michaud, le 21 février 2016, à Montréal

Rita Lafontaine, le 4 avril 2016, à Montréal

André Montmorency, le 5 juillet 2016, à Montréal

Benoît Girard, le 25 mars 2017, à Montréal

Janine Sutto, le 28 mars 2017, à Montréal

Rodrigue Mathieu, le 13 avril 2017, à Montréal

Paul Hébert, le 20 avril 2017, à Québec

Nicole Leblanc, le 23 mai 2017, à Montréal

Gabriel Gascon, le 30 mai 2018, à Montréal

Albert Millaire, le 15 août 2018, à Montréal

Gilles Pelletier, le 5 septembre 2018, à Montréal

Huguette Uguay, le 11 décembre 2018, à Montréal

Renée Noiseux-Gurik, le 14 septembre 2019, à Montréal

Andrée Lachapelle, le 21 novembre 2019, à Montréal

Monique Mercure, le 17 mai 2020, à Montréal

Michelle Rossignol, le 18 mai 2020, à Montréal

Aubert Pallascio, le 5 juillet 2020, à Montréal

Michel Beaulieu, le 9 août 2020, à Montréal

Michel Dumont, le 13 août 2020, à Montréal

Jacques Godin, le 26 octobre 2020, à Montréal

France Arbour, le 1er décembre 2020, à Granby

Le nombre d’artistes encore vivants ayant une entrée dans l’ouvrage passe donc à 312 le 2 décembre 2020.

Picture

L'aventure du Dictionnaire a duré cinq ans...!

Éditions Le Bord de l'eau, Lormont (France), 2016

John Florio, alias Shakespeare

Table des matières

Lancement de John Florio, alias Shakespeare

Michel Vaïs et Lamberto Tassinari à Montréal, librairie Le Port de tête, le 4 avril 2016.


Dialogue entre l'auteur et son traducteur pour Zone Culture en 2017 autour de la parution du livre en français :

https://www.youtube.com/watch?v=DQXWDzPxEYA&t=293s


Film de Pascal Quéré sur John Florio, avec Lamberto Tassinari et Michel Vaïs :

Première partie : https://www.youtube.com/watch?v=KyrSeRcYvgQ&t=667s

Deuxième partie : https://www.youtube.com/watch?v=lyCJ-4WwJl8&t=5s

Picture

Devant le Théâtre de la Coupole, à la Cité internationale de Paris, pour la table ronde sur John Florio du 27 octobre 2018, à l'invitation de l'EASTAP (European Association for the study of theatre and performing arts).

13.5 Traductions

• Marquée au corps (Bodily Harm) de Margaret Atwood ; révision de la traduction d’Hélène Filion, Montréal, Quinze, 1983, 280p. Mention honorable, prix de traduction du Conseil des Arts du Canada.

Jigsaw One. Guide pédagogique et Jigsaw Two. Guide pédagogique ; traduction de l’anglais ; Centre Éducatif et Culturel, Montréal, 1984, 120p. chacun.

L’Œuf de Barbe-Bleue (Bluebeard’s Egg) de Margaret Atwood ; révision de la traduction d’Hélène Filion, Montréal, Libre Expression, 1985, 208p.

John Florio alias Shakespeare, de Lamberto Tassinari, Éditions Le Bord de l’Eau, Bordeaux (France), janvier 2016. Traduction de John Florio. The man who was Shakespeare, Montréal, Giano Books, 2009.

13.6 Programmes

• « Le théâtre au Québec », La Comédie-Française No 23, Paris, nov. 1973. 2 p.

• « René de Obaldia », Cahiers de la Nouvelle Compagnie théâtrale, 10e année, No 2, Montréal, janv. 1976, 5 p.

• « L’homme qui tourne le dos aux moulins », étude sur René de Obaldia, Cahiers de la Nouvelle Compagnie théâtrale, Montréal, oct.1979, 4p.

• Premier Festival de théâtre des Amériques, mai 1985 : rédaction de la majeure partie des textes, traductions de l’anglais et de l’espagnol, révision. (120p.)

• Article sur Le Seigneur des anneaux, Avant-première (revue des abonnés du Centre National des Arts), avril 1986, 2p.

• Programme du deuxième Festival de théâtre des Amériques, mai 1987 : rédaction et traduction des articles sur les spectacles d’Argentine (El Gran Circo criollo, Potestad), du Brésil (Macunaíma, A Hora e vez de Augusto Matraga) et du Québec (Off off off ou sur le toit de Pablo Neruda).

• « Le théâtre québécois : un grand voyageur », En scène, Nouvelle Compagnie théâtrale, vol.7 No 3, mars 1989, 2p.

• « Jarry au Québec », Cahiers de la NCT, janv. 1992, 2p.

• Programme de l’événement « Robert Lepage, Prix Europe pour le théâtre 2007 », Thessalonique.

Cahiers de la Nouvelle Compagnie théâtrale

Nouvelle série, No 1, janvier 1992.

Ubu roi

C'est aussi une photo du Père Ubu et de la Mère Ubu, dans une mise en scène de Jean-Pierre Ronfard en 1962, avec Denise Morelle et Marcel Sabourin, qui orne la couverture du Dictionnaire des artistes du théâtre québécois.

13.7 Préfaces

• « Faites vos jeux ! », Gertrude Laframboise, agitatrice (Pierre K. Malouf), Éditions Varia, 2000, 7 p.

• « La marionnette à la rencontre du monde », Rencontres avec… / Meetings with… / Encuentros con…, Festival international des arts de la marionnette, Saguenay, Québec, Canada, juin 2006, 1p.

Le numéro 174 de la revue JEU (2020)

Entrevue à Télé-Québec à l'émission de Normand Brathwaite, Beau et Chaud, où il est question du dossier sur le rire dans Jeu 55. Quand les philosophes Emmanuel Kant, Henri Bergson et Friedrich Hegel permettent d'expliquer le phénomène de l'humour et du rire au Québec. Voir :

https://www.youtube.com/watch?v=WI7359WGcNI

13.8 Principaux articles

• « Le théâtre québécois au-dessus du joual », Le Devoir, Montréal, 25 nov. 1972.

• « Les Belles-Sœurs à Paris. Quand l’ogre est conquis », Le Devoir, 10 déc. 1973, 1 p.

• « Entretien avec André Veinstein », Jeu 1, Montréal, fév. 1976, Éd. Quinze, 8 p.

• « Les Saltimbanques (1962-1969) », Jeu 2, mai 1976, 23 p.

• « Auteur/création collective : mythe et réalité », Jeu 4, fév. 1977, 7p.

• « Nouveaux auteurs, textes nouveaux ? », « Le mai théâtral », Jeu 6, déc. 1977, 11p.

• « Les pommes et les oranges », Le Devoir, Montréal, 2 déc. 1978, p. 31.

• « Autour des rapports de production », Jeu 10, avril 1979, 5p.

• « Le théâtre de recherche à Montréal », Jeu 12, déc. 1979, 23p. (en coll.) ; 7p. à 100%.

• « La scène montréalaise en 1979 », Canadian Theatre Review, 1980, 8p.

• « L’Eskabel, dix ans de folie... ou presque », Jeu 14, août 1980, 35p. (en collaboration) ; 11 p. à 100%.

• « Quebec: A Permanent Festival », Canadian Theatre Review Yearbook, Toronto, oct.1980, 2p.

• « Le colloque de Toronto : théâtralité – écriture et mise en scène », Jeu 18, avril 1981, 4p.

• « Le théâtre québécois en Europe », « Un théâtre qui s’écrit », Jeu 21, janv. 1982, 17p.

• « À la recherche de la parole errante », entretien avec Armand Gatti, (en coll. avec Pierre Lavoie), 12p., « Une force de la nature », portrait d’Armand Gatti, 4p., Jeu 26, jan.1983.

• « Quat’sous d’argent : un jeu qui trouve son lieu », Jeu 28, juil. 1983, 5p.

• « Entretien avec Françoise Graton et Gilles Pelletier » (en coll. avec Adrien Gruslin), Jeu 30, jan.1984, 18p.

• « Écrire pour poser des questions », entretien avec Suzanne Aubry, Jeu 31, avril 1984, 8p.

• « Le degré zéro du costume : la nudité », Jeu 32, juil. 1984, 10p.

• « La Quinzaine internationale du théâtre de Québec 1984 » (en coll. avec Paul Lefebvre), Jeu 34, janv. 1985, 10p.

• « Le théâtre expérimental : de l’hermétique à l’accessible », Jeu 36, juil. 1985, 9p.

• « Le théâtre anglo-québécois à l’heure du renouveau », d’après des entretiens de Vincent Glorioso et Marie-Louise Paquette, Jeu 38, janv. 1986, 57p.

• « D’abord un spectateur » (sur le critique), « Établir une connivence : le théâtre à la radio FM de Radio-Canada », Jeu 40, juil. 1986, 6p.

• « Affaires de cas », en coll. avec Pierre Lavoie, Jeu 41, oct. 1986, 2p.

• « Le monde du théâtre au front », Jeu 42, janv. 1987, 1p.

• « Brecht 30 ans après : Convergences à Toronto », Jeu 43, avril 1987, 6p.

• « Derrière Les Paravents : entretien avec André Brassard », Jeu 44, juil. 1987, 19p.

• « De qui se moque Le Devoir ? », « Entre le jouet de pacotille et la voute céleste : le voyage des personnages à travers les objets » (sur La Trilogie des dragons), Jeu 45, oct. 1987, 16p.

• « L’énergie brésilienne : entretien avec Antunes Filho », en coll. avec Solange Lévesque, Jeu 46, janv. 1988, 6p.

• « L’Association québécoise des critiques de théâtre », Canadian Theatre Review 57, hiver 1988, 2p.

• « Le C.Q.T. se renouvelle », « Dix œuvres contre l’usure du temps » (sur le répertoire national), Jeu 47, avril 1988, 11p.

• « Mettre Shakespeare en espace », Jeu 48, sept. 1988, 6p.

• « Le jeu du test » (9p. en coll.), « Entretien avec Michel Lemieux » (3p.) et « Jeux de pose » (7p.), Jeu 50, mai 1989.

• « Deux théâtres revenus du passé », L’actualité, juin 1989, 3p.

• Dossier sur le théâtre de marionnettes, Jeu 51, juin 1989 (responsable du dossier et coresponsable du numéro) ; plusieurs articles, 29p.

• « Espace libre hors les murs », Jeu 52, sept. 1989, 4p.

• « Théâtre et homosexualité », Jeu 54, mars 1990 : « Questions sur un malaise » 5p. (en coll.) et « Séminaire », 70p. (en coll.).

• « L’été : aller au théâtre pour rire », Jeu 55, juin 1990, 2p.

Entrevue à l’émission de télé Beau et Chaud, animée par Normand Brathwaite, en 1990, à l’occasion de la parution du dossier « Humour et rire » dans Jeu 55 :

https://www.youtube.com/watch?v=WI7359WGcNI

• « Enfin, la manne ? », Jeu 56, sept. 1990, 3p.

• « Du Théâtre expérimental des femmes à l’Espace GO », Jeu 57, déc. 1990,12p.

• « Le jeune auteur français : issu du sérail », « Entretien avec Alexandre Hausvater », « Des personnages en suspens », sur La Maison suspendue (Michel Tremblay), « Une Winnie jeune ? », sur Oh les beaux jours (Samuel Beckett), Jeu 58, mars 1991, 12p.


• Au cours des étés 1991, 1992 et 1993 : séries d’entretiens pour le quotidien Le Devoir.


• « Le phénomène des festivals fringe : Entretien avec Erika Patterson », Jeu 60, sept. 1991, 10p.

• « Dominic Champagne », « L’édition théâtrale : une année de remous », Jeu 61, déc. 1991, 7p.

• « Le poids de la tradition. Entretien avec André Brassard », Jeu 64, sept. 1992, 9p.

• « Quand le théâtre va à l’école » et « Le 8e festival de théâtre amateur de Montréal », Jeu 65, déc. 1992, 13p.

• « Construire un personnage. Entretien avec Marc Béland » et « D’Atrides à Zïlon. H comme Hausvater », Jeu 66, mars 1993, 11p.

• « Frontières hispanophones », « Visite au musée du théâtre d’Amsterdam » et « Sexy Sprinkle », Jeu 67, juin 1993, 17p.

• « Le jeu tragique » et « RRRrrr!... » (la Roulotte de Buissonneau), Jeu 68, sept. 1993, 26p.

• « Entretien avec Igor Ovadis » et « L’O du conte », Jeu 69, déc. 1993, 7p.

• « Un beau K » (sur la pièce Canadà), Jeu 70, mars 1994, 3p.

• « Le théâtre d’été », Théâtre/Public No 117, 1994, 3p.

• « Rapatrier des ressources naturelles. Entretien avec Eudore Belzile », Jeu 71, juin 1994, 13p.

• « Le brassage des cultures » (table ronde ; en coll. avec Philip Wickham), « Vladimir Ageev. Le cœur du marionnettiste » et « I comme Ionesco », Jeu 72, sept. 1994, 41p.

• « Urbain des bois. Entretien avec Jean Marc Dalpé » et « M comme... Cambronne », Jeu 73, déc. 1994, 19p.

• « Ah ! le Portugal ! », Jeu 74, mars 1995, 7p.

• « Produire le Woyzeck d’UBU en Belgique. Entretien avec Daniel Córdova », Jeu 75, juin 1995, 7p.

• « Vers un lieu permanent. Les dix ans de la Maison Théâtre. Entretien avec Nicole Doucet et Serge Marois » et « Pierre Rousseau à la NCT : après la tourmente. Entretien », Jeu 76, sept. 1995, 18p.

• « La relève : qu’est-ce à dire ? Un terme suspect » et « Le T-léphone au T-âtre », Jeu 77, déc. 1995, 14p.

• « Parcours architectural du Théâtre d’Aujourd’hui » et « NU : c’est du grec », Jeu 79, juin 1996, 14p.

• « Ce théâtre qui a traversé ma carrière de critique », « J comme Jeu » et « Les derniers mots sont croisés », Jeu 80, sept. 1996, 16p.

• « La remise du prix Europe... et un théâtre carcéral exemplaire », « Un auteur vivant de sa plume, en France (Pierre Laville) » (en coll. avec Louise Vigeant) et « L’R des Repentirs ou Trois metteurs en scène mis à nu », Jeu 81, déc. 1996, 24p.

• « Théâtre et société : quels rapports ? » (table ronde) et « Et M... pour le Message », Jeu 82, mars 1997, 18p.

• « Le théâtre privé sort de l’ombre » (table ronde), Jeu 83, juin 1997, 17p.

• « Théâtre et médias » (table ronde) et « Janine Sutto-Deyglun » (entretien), Jeu 84, sept. 1997, 29 p.

• « La voie politique », « Questions sur le réalisme » (table ronde), « Un gouffre au bord du pays » (entretien avec Martin Faucher) et « Séoul où S ? C’est où l’horizon critique s’élargit », Jeu 85, déc. 1997, 35 p.

• « Hommage à André Le Coz » et « SOH CAH TOA ou Le théâtre au secours des maths ! », Jeu 86, mars 1998, 7 p.

• « Le conte en question » (table ronde), Jeu 87, juin 1998, 15p.

• « Pauvre théâtre québécois ! » (Carrefour international de théâtre de Québec), « L’I de l’impureté » (table ronde) et « Robert Lepage : un homme de théâtre au cinéma », Jeu 88, sept. 1998, 19p.

• « Don Quichotte et l’invention artistique » (table ronde), Jeu 89, déc. 1998, 12p.

• « À quoi sert la critique ? » (table ronde), « Montréal russophone » et « EHB : Esther, Hamlet, Bousille. Ma découverte du théâtre », Jeu 90, mars 1999, 26p.

• « Le théâtre utile : entre loisir et thérapie » (table ronde), Jeu 91, juin 1999, 17p.

• « Jouer en tournée » (table ronde) et « L’ABC d’un dictionnaire. Rencontre avec Michel Corvin », Jeu 92, sept. 1999, 18p

• « Le monde de Marcel Dubé », La revue de la Cinémathèque, avril 1999, 1p.

• « Le festival idéal » (table ronde), « Le chaos n’est pas pour demain » (FTA 1999) et « Jean-Pierre Ronfard. Prix Denise-Pelletier 1999 », Jeu 93, déc. 1999, 33p.

• « Les nouveaux visages de l’engagement » (table ronde) et « MLM (Mesguich, Lepage, Mouawad) à Séoul », Jeu 94, mars 2000, 21p.

• « Les racines du souyoukouk » (Les Mots) et « Les mots que l’on croise » (mots croisés), Jeu 95, juin 2000, 10p.

• « Direction artistique et conseil d’administration : guerre et paix » (table ronde) et « Quand Denis Marleau et Didier Bezace se livrent à l’adaptation », Jeu 96, sept. 2000, 23p.

• « Petites formes et grandes rencontres » (Carrefour de Québec 2000) et « Les petites salles : pour quelles pièces, quel public, quel avenir ? » (table ronde), Jeu 97, déc. 2000, 22p.

• « Faut-il soutenir le théâtre amateur ? » (table ronde), « Entre le génie et la présidence. Entretien avec Hristo Boytchev » et « B comme Baltique », Jeu 98, mars 2001, 28p.

• « L’Europe théâtrale salue Piccoli, Platel et Goebbels », Le Devoir, 14 avril 2001.

• « Réflexions sur le corps paré » et « Lemêtre de musique », Jeu 99, juin 2001, 12p.

• « Fonder, durer, continuer », « La souris et la montagne. Jeu : vingt-cinq ans de rayonnement » et « La grille du théâtrophile », Jeu 100, septembre 2001, 25p.

• « Notre théâtre est-il bourgeois ? » (table ronde) et « Où la culture, c’est majuscule », Jeu 101, décembre 2001, 19p.

• « Écrire sur le théâtre : pour qui ? pourquoi ? » (table ronde) et « Michel Piccoli : entre les planches et l’écran », Jeu 102, mars 2002, 13p.

• « À quoi servent les salles transformables ? » (table ronde) et « Roger Planchon : un parcours unique », Jeu 103, juin 2002, 21p.

• « La tradition expérimentale : Des Apprentis-Sorciers à Carbone 14 » et « L’Espace ouvert : Accueil et renouveau », Le Devoir, 17 août 2002, 3p.

• « Jouer avec des accents » (table ronde), « Réfléchir en riant » et « Entre N.Y. et L.A. : Houston et Chicago », Jeu 104, septembre 2002, 25p.

• « Le 6e Carrefour international de théâtre de Québec », « Comment fonctionne un théâtre », « SVP mettre en scène : Équation pour un homme actuel » et « Théâtre Action : de la Belgique au reste du monde », Jeu 105, décembre 2002, 32p.

• « Trajectoire d’un festival en Amérique » et « Francophonie ouverte et œuvre emblématique. Hélène et son collier à Limoges », Jeu 106, mars 2003, 17p.

• « L’institution théâtrale – Le paysage aux 200 compagnies. Des billets aux prix en baisse en favoriseront la fréquentation », Le Devoir, 26 avril 2003, 1 p.

• « Les Coups de théâtre 2002. Le grand festival des petits » et « Gatti le granit. Performance à l’UQAM », Jeu 107, juin 2003, 13p.

• « La marionnette e-x-t-e-n-s-i-b-l-e », Jeu 108, septembre 2003, 4p.

• « Un système à casser ou à transformer ? Pour ou contre le modèle québécois du théâtre », « Paroles croisées dans les Cévennes » et « L’ABC de l’expérimental », Jeu 109, décembre 2003, 24p.

• « L’épidémie des prépapiers », « Ce théâtre qui nous change », « Touche-à-tout au cœur de l’action. Jean Despréz (1906-1965). Une femme de tête, de courage et de cœur », « Le conte en grand. Festival interculturel du conte du Québec 2003 », Jeu 110, mars 2004, 16p.

• « Ma conception de la critique » (en coréen), Korean Theatre Journal No 31, Séoul, printemps 2004, 6p.

• « Los ‘Cuentos Urbanos’ : autopsia de un éxito » (« Les ‘Contes urbains’ : autopsie d’un succès » en espagnol), ADE Teatro, No 99, Madrid, mars 2004, 3p.

• « La marionnette e-x-t-e-n-s-i-b-l-e », E pur si muove ! La marionnette aujourd’hui (magazine de l’Union internationale des marionnettistes), No 3, Charleville-Mézières, avril 2004, 3p.

• « Una proeza », ADE Teatro, No 100, Madrid, juin 2004, 1p.

• « Ese teatro que nos cambia » (« Ce théâtre qui nous change » en espagnol), ADE Teatro, No 101, Madrid, septembre 2004, 3p..

• Éditorial : « Virage au Rideau Vert », « Le théâtre pense-t-il ? », « Provocation et brutalité en Europe », Jeu 111, juin 2004, 23p.

• « Est-ce qu’on rit trop au théâtre ? » et « R : Retour de Russie », Jeu 112, septembre 2004, 20p.

• « Lettre à la très honorable Adrienne Clarkson, Gouverneure générale du Canada » et « À quoi sert le théâtre d’intervention ? », Jeu 113, décembre 2004, 18p.

• « Le nu sur scène : pourquoi ? », « Un territoire de travail – Entretien avec Jean Marc Dalpé » et « CB : Chronique bulgare », Jeu 114, mars 2005, 20p.

• « Acte 3 en liberté », Jeu 115, juin 2005, 8p.

• « Former des metteurs en scène : pourquoi ? comment ? » et « La mise en scène comme rapport d’aventure – Entretien avec Philippe Soldevila », Jeu 116, septembre 2005, 20 p.

• « Rêver la guerre – Entretien avec Daniel Danis », Jeu 117, décembre 2005, 8p.

• « Publicité électorale. Respecter le concept de la Ligue nationale d’improvisation », Le Devoir, « Idées », samedi 17 décembre 2005, p. B7. Article aussi paru dans Rappels 05-06. Répertoire analytique et bilan. Saison théâtrale 2005-2006 au Québec, Éd. Nota bene, Montréal, 2006, p. 302-304.

• « Quand les artistes critiquent », Jeu 118, mars 2006, 2p. et « Jusqu’où aller trop loin ? », 14p.

• « C : le corps catalan », Jeu 119, juin 2006, 4p.

• « Ma conception de la critique » (en japonais), Theatre Arts Vol. 23, Tokyo, été 2006, 4p.

• « Peut-on former un auteur de théâtre ? », « Boudés au Québec, aimés en France ? » et « Passion, Poésie, Politique, Pinter », Jeu 120, septembre 2006, 24p.

• « Les relations idéales entre critiques et gens de théâtre » (en japonais), Theatre Arts Vol. 27, Tokyo, automne 2006, 3p.

• « Le théâtre amateur : formation ou déformation ? » et « J pour Japon », Jeu 121, décembre 2006, 16p.

• « Y a-t-il trop de compagnies théâtrales pour les fonds disponibles ? » et « CD : Carpe Diem » (Nouvelle salle à Longueuil), Jeu 122, mars 2007, 22p.

• « Allers-retours Jonquière-Guanajuato », Jeu 123, juin 2007, 11p.

• « Le théâtre musical au Québec : quel avenir ? », Jeu 124, septembre 2007, 11p.

• « Montrer des corps vieillissants sur la scène : comment ? Pourquoi ? Pourquoi pas ? », Jeu 125, déc. 2007, 13p.

• « À la recherche du choc théâtral » et « S : Séoul et Santiago », Jeu 126, mars 2008, 12p.

• « PTA : Premier théâtre d’Arthur », Jeu 127, juin 2008, 3p.

• « Un dictionnaire contre vents et marées », « Le théâtre pour ados : à quoi ça sert ? » et « Les mots croisés du dictionnaire », Jeu 128, septembre 2008, 11p.

• "The Power of an Imaginary China" (sur Robert Lepage, La trilogie des dragons » et Le Dragon blanc), New Drama Magazine, Pékin, 2008, ?p.

• « Le jeu non réaliste : l’approche de Vitez, Régy, Nekrosius » et « Est-ce que la télé pollue le théâtre ? », Jeu 129, décembre 2008, 16p.

• « S’arrêter pour réfléchir » et « Conter ou donner un show ? », Jeu 131, juin 2009, 17p.

• « Ah, l’Animal ! », Jeu 132, septembre 2009, 4p.

• « Où loge la création d’aujourd’hui ? », « De l’anglais dans Jeu, ou les joies du risque », « C comme Cour. Festival Teatro a Corte », Jeu 133, décembre 2009, 11p.

• « V : Vive Václav Havel ! », Jeu 134, mars 2010, 5p.

• « Divadlo v Quebecu » (« Le théâtre au Québec »), Konkrétne Ø divadle – KØd, revue slovaque, mai 2010, 4p.

• « HD : Haute Définition ou Hamlet Décortiqué », Jeu 136, mars 2010, 9p.

• « L’improvisation : formation ou déformation ? » (table ronde), « Robert Lepage et l’impro », «Tragédies romaines : l’événement du FTA 2010 », Jeu 137, juin 2010, 15p.

• « Le dauphin : espèce en péril ? », « S : Sibérie m’était contée », Jeu 138, mars 2011, 17p.

• « Prise de parole ou acte esthétique ? », Jeu 139, juin 2011, 13p.

• « La roue tourne », « Téhéran : triomphe du théâtre textile », Jeu 140, septembre 2011, 7p.

• « De Gävle à Wendake », Jeu 141, décembre 2011, 4p.

• « La critique québécoise dans le monde : de l’éthique à la pratique », « Le nu : pas si simple. La nouvelle création de Daniel Léveillé », Jeu 142, mars 2012, 9p.

• « Paradoxes émiratis », Jeu 143, juin 2012, 3p.

• « Le point sur Shakespeare et Florio », « Sciences et technologie servent-elles ou trahissent-elles le théâtre ? » (table ronde), Jeu 144, septembre 2012, 16p.

• « Santiago-Sarajevo », Jeu 146, mars 2013, 6p.

• « L’engagement physique : Hors ou au cœur du théâtre », Jeu 147, juin 2013, 8p.

• « Jouer à Bakou », « "Mon" Jean-Louis Roux », Jeu 150, mars 2014, 7p.

• « Le théâtre "canadien" et Shakespeare expliqués aux Chinois », « Théâtre et politique : de faux amis ? », Jeu 152, septembre 2014, 7p.

• « Accompagner contes et conteurs », « Souvenirs de Couteauoiseau », Jeu 154, mars 2015, 5p.

• « Le corps en terre islamique », Jeu 159, juin 2016, 3p.

• « In memoriam Jean Salvy», Jeu en ligne, novembre 2016, 1p.

• « Expo 67 : Rappel d’un scandale », Jeu 162, mars 2017, 3p.

• « Normand Desmarteau, l’amateur assidu », Jeu 164, septembre 2017, 2p.

• « Tout montrer… Qu’est-ce à dire ? », Jeu 165, décembre 2017, 6p.

• « Curiosités émiraties », Jeu 167, juin 2018, 3p.

• « Qui était Shakespeare ? Discussion avec Robert Lepage », Jeu 168, septembre 2018, 4p.

• « De la chandelle à la DEL », Jeu 170, mars 2019, 6p.

• « Pourquoi John Florio, alias Shakespeare », Critical Stages/Scènes critiques No 18 (critical-stages.org), décembre 2018, 11p.

• « Quand Lepage et Mnouchkine se heurtent à l’appropriation culturelle », « When Lepage and Mnouchkine Collide with Cultural Appropriation », Critical Stages/Scènes critiques No 19 (critical-stages.org), juin 2019, 12p.

• « Du charme d’un legs », Jeu 171, juin 2019, 3p.

• « Lepage and Mnouchkine Collide With Cultural Appropriation », Performing Arts Journal No 123, septembre 2019, 4p.

• « Chicago, cité de théâtre », Jeu 174, janvier 2020, 4p.

RAC : « Jacques Crête et l’Eskabel : un parcours singulier », Jeu 177, mars 1977, 2p.

•  « Retrouvailles ou souvenirs ? », Jeu 180, décembre 2021, 4p.

• « Aisselles et Bretelles : Effeuillage d’une statue vivante », Jeu 181, mars 2022, ½ p.

• « La Basoche : un théâtre injustement oublié ? », Jeu 182, juin 2022, 4p.


Picture

Conférence sur l'éthique de la critique de théâtre. Istanbul, 2 novembre 2014. L'affiche suit.

Picture

13.9 Comptes rendus et critiques

Septième Ciel (François Beaulieu), Livres et auteurs québécois 1976, Presses de l’Université Laval, Québec, 1977, 3p.

Projet pour un bouleversement des sens (l’Eskabel), Jeu 5, juin 1977, 4p.

Ti-Jésus, bonjour (Jean Frigon), Jeu 7, avril 1978, 2p.

Esquisse au livre de Job (La Grande Réplique), Jeu 8, août 1978, 2p.

Damnée Manon, sacrée Sandra et Surprise ! Surprise ! (M. Tremblay), Qui est le père ? (Félix Leclerc), Livres et auteurs québécois 1977, Presses de l’Université Laval, Québec, 1978, 5p.

Orgasme I/Orgasme II (Théâtre expérimental de Montréal), Jeu 9, fév. 1979, 3p.

L’Univers du théâtre (Girard, Ouellet et Rigault), Le Casino voleur (André Ricard), Livres et auteurs québécois 1978, Presses de l’Université Laval, Québec, 1979, 4p.

La Métamorphose de la tragédie (Ion Omesco), Jeu 18, avril 1981, 4p.

Dictionnaire du théâtre (Patrice Pavis), Jeu 22, avril 1982, 2p.

Voyages chez les morts (Eugène Ionesco), Jeu 24, oct. 1982, 2p.

Nous étions tous des noms d’arbres (film d’Armand Gatti), Alice, Avez-vous vu la dame d’en haut ?, Ballade pour trois baleines (Théâtre expérimental des femmes), Jeu 26, avril 1983, 5p.

Gigogne (Nouveau Th. expérimental), Moving (David Fennario), Jeu 27, sept. 1983, 3p.

Outrage au public (Peter Handke), Sœur Agnès (John Pielmeier), Jeu 29, oct. 1983, 4p.

Mort accidentelle d’un anarchiste (Dario Fo), Art du conteur, art de l’acteur (Youssef Rachid Haddad), Jeu 37, oct. 1985, 5p.

Chandeleur (Francine Noël), Raz de marée (Le Klaxon), Haute Fidélité (Ray Cooney), Jeu 39, avril 1986, 6p.

Broue (Voyagements), Jeu 40, juil. 1986, 3p.

Off off off ou sur le toit de Pablo Neruda (Alberto Kurapel), La Vie de Galilée (Bertolt Brecht), Jeu 41, oct. 1986, 5p.

Théâtre. Étude. Enseignement. Éléments de méthodologie (André Veinstein), Jeu 42, janv. 1987, 2p.

• « Les limites de la psychologie et du réalisme au théâtre », sur La Nuit des p’tits couteaux (Suzanne Aubry), La Presse, 20 janv. 1987.

La Médée d’Euripide (Marie Cardinal), Fool for love (Sam Shepard), Jeu 43, avril 1987, 3p.

Le Night Cap Bar (Marie Laberge), Jeu 44, juil. 1987, 3p.

Douze Hommes en colère (Reginald Rose), Jeu 46, janv. 1988, 2p.

Urgence aux portes (Céline Côté), Fantômes, concert-fantôme (Petit à petit), Kiss of the Spider Woman (Manuel Puig), Le Trésor des pyramides (Nouveau théâtre expérimental), Faux Frère (Jocelyne Beaulieu), Jeu 47, avril 1988, 8p.

Les Fourberies de Scapin (Molière), La Femme d’intérieur (Robert Claing), Jeu 48, juil. 1988, 4p.

L’Hymne à J. Nair (Théâtre de la Dame de cœur), Jeu 51, juin 1989, 2p.

Le Malade imaginaire (Molière), La Magnifique Aventure de Denis St-Onge (Théâtre Petit à petit), Jeu 52, sept. 1989, 3p.

Le Bourgeois gentilhomme (Molière), Tango (Mrozek), Jeu 54, mars 1990, 8p.

Marionnettes. Art et tradition (Micheline Legendre), Jeu 57, déc. 1990, 3p.

Le Salon de l’anti-monde (Ionesco/Théâtre Repère), Peer Gynt (Ibsen), Jeu 59, juin 1991, 4p.


• Au cours des étés 1991, 1992 et 1993 : séries de critiques de théâtre pour Le Devoir.


Si je n’étais pas partie...Alexandra David-Néel (Théâtre des Cuisines), Le Sang de Michi (Kroetz/Ma Chère Pauline), Jeu 60, sept. 1991, 5p.

L’Été (Weingarten/l’Opsis), Jeu 61, déc. 1991, 4p.

L’art de la scène : passé-présent. Scénographie québécoise (Mario Bouchard), Jeu 62, mars 1992, 3p.

• « Deux visions des Bonnes : à Montréal et à Moscou » (Jean Genet) et « Dictionnaire encyclopédique du théâtre » (Michel Corvin), Jeu 65, déc. 1992, 8p.

• « Havel... sous le manteau », « Audience et Vernissage » (Vaçlav Havel) et « Le Théâtre libéré de Prague » (Danièle Monmarte), Jeu 66, mars 1993, 12p.

Les abus de la liberté d’expression : l’encadrement juridique du rôle du critique (Chantal Sauriol), Jeu 67, juin 1993, 3p.

Fin de partie (Samuel Beckett), Jeu 68, sept. 1993, 4p.

Le Dindon (Feydeau/Rideau Vert et ProFusion) et Histoire du théâtre dessinée (André Degaine), Jeu 69, déc. 1993, 10p.

La Locandiera (Goldoni/La Ribalta) et Le canoë de papier (Eugenio Barba), Jeu 70, mars 1994, 6p.

Icaro (D. Finzi Pasca) et Le roi se meurt (Ionesco/La Veillée et La Rallonge), Jeu 71, juin 1994, 10p.

The Oxford Companion to Canadian Theatre, Jeu 73, décembre 1994, 3p.

Jeux de patience (A. Farhoud/La Manufacture) et Ainsi parlait Pulcinella (La Grosse Valise), Jeu 75, juin 1995, 5p.

Le Corset (P. Quintal/Double Signe), Jeu 78, mars 1996, 2p.

Comme chez les Grecs (S. Berkoff/production autogérée), Jeu 79, juin 1996, 2p.

• « Vampire sur scène ou l’impossible pari » (Le Vampire et la Nymphomane ; Gauvreau/Chants libres) et Exodos1. La Cité (M. Monty/Trans-Théâtre), Jeu 81, déc. 1996, 5p.

• « Les Insectes, nos aïeux » (Cavea Luna) et « Le roman de Paulo » (Paul Buissonneau ou la Vigoureuse Impatience), Jeu 87, juin 1998, 5p.

• « Trancher dans le sexe » (Masculin/Féminin) et « Théâtre de cuisine d’été » (La Gloire des filles à Magloire), Jeu 88, sept. 1998, 6p.

• « Le spectacle rattrapé par la réalité » (La Fabuleuse Histoire d’un royaume) et « Le masque du théâtre » (Le Rideau ou la Fêlure du monde/G. Banu), Jeu 89, déc. 1998, 7p.

• « Brillant » (Un fil à la patte) et « Défi relevé » (La Grande Magia), Jeu 90, mars 1999, 4p.

• « Une Omertà de Petite Vie » (Trick or Treat) et « Rater sa mort » (Le Roi se meurt), Jeu 92, sept. 1999, 6p.

• « Inoubliable voyage dans le temps » (Les Troyennes), « La radio en spectacle » (La Femme de sel) et « Petite cocasserie » (Naufragium), Jeu 93, déc. 1999, 10p.

• « Partir avec le chien » (Poème pour une nuit d’anniversaire) et « La critique passée au crible » (Establishing Our Boundaries. English-Canadian Theatre Criticism), Jeu 94, mars 2000, 9p.

• « Les tripes sur la table Ikea » (Les Bonnes), « Quand on jouait dans l’île Sainte-Hélène » (La Poudrière réincarnée), « L’ancien et le nouveau » (Tambours sur la digue) et « Clowns acrobatiques dansants » (Mélanges, Opéra Plume), Jeu 95, juin 2000, 14p.

• « Statuaire et étrangeté » (Électre) et « Où sont passés les cerisiers ? » (La Cerisaie), Jeu 96, sept. 2000, 6p.

• « Quand le mur des langues est franchi » (Ümlout) et « De A à W : l’état du théâtre dans le monde » (The World of Theatre. 2000 Edition), Jeu 97, déc. 2000, 8p.

• « La pub politique » (Propagande) et « Banale élévation » (La Nostalgie du paradis), Jeu 98, mars 2001, 6p.

• « Résolument moderne » (L’avenir est dans les œufs précédé de Jacques ou la Soumission), Jeu 99, juin 2001, 4p.

• « Quand souffle l’esprit » (La Cantatrice chauve) et « Modernisation hyperactive » (La Leçon), Jeu 101, décembre 2001, 5p.

• « L’heure des bilans » (Le Théâtre québécois 1975-1995), Jeu 102, mars 2002, 7p.

La création en direct et « S comme Stimulation Scientifiquement Sexuelle », Jeu 103, juin 2002, 9p.

• « Femme et comédienne. Françoise Faucher », Jeu 106, mars 2003, 3p.

• « Tranche de vie théâtrale ». Une fenêtre sur la modernité. Les Apprentis-Sorciers (1955-1968), Jeu 108, septembre 2003, 3p.

• « Tempête d’énergie : William Forsythe et le Ballett Frankfurt » et « Les corps banals de Meg Stuart », Jeu 111, juin 2004, 2p.

• « Du meilleur au pire : Théâtres du Monde 2004 », Jeu 114, décembre 2004, 7p.

• « Fascination sans émotion » (2191 Nuits), Jeu 115, juin 2005, 2p.

• « Historiette démesurée » (La Chambre des rêves, Théâtre de la Dame de Cœur) et « Micro-trottoir sur la critique. Le Dépit amoureux. Créateurs et critiques au théâtre », Jeu 117, décembre 2005, 6p.

• « La performeuse et le caneton » (Dégage, petit !, Agnès Limbos), « Les "Feluettes" mexicaines et autres étrangetés » (Festival mondial des arts pour la jeunesse), Jeu 118, mars 2006, 7p.

• « Lumineux éclat de l’ombre » (Le Projet Andersen, Robert Lepage), Jeu 121, décembre 2006, 4p.

• « D’une drôlerie bédéesque » (Ubu roi) et « Ambitieux divertissement » (Lipsynch), Jeu 125, décembre 2007, 6p.

• « L’oiseau polyphonique », sur Seuls (Wajdi Mouawad), Jeu 130, mars 2009, 4p.

• « Demi-teinte » (Woyzeck), Jeu 132, septembre 2009, 2p.

• « Gravel chez lui au Rideau Vert » (Il n’y a plus rien), « Du poétique à l’abracadabrant » (La Grande Nuit du conte), Jeu 134, janvier 2010, 6p.

• « Lipsynch : Lorsque dure l’enchantement », Critical Stages/Scènes critiques No 3 (criticalstages.org), automne 2010, 4p.

• « Naissance de la critique dramatique. L’Éveil culturel. Théâtre et presse à Montréal, 1898-1914 », Jeu 138, mars 2011, 3p.

• « Le retour de Chéreau » (Rêve d’automne), «Performance participative marxiste » (Manifeste K.), Jeu 139, juin 2011, 7p.

• « L’esprit est là », (Qui est ce Ionesco ?), « Trôner sur l’amour », (Mérédith), Jeu 140, septembre 2011, 4p.

• « Shakespeare transculturel. John Florio. The Man Who Was Shakespeare », Jeu 141, décembre 2011, 4p.

• « Shakespeare transcultural » (en espagnol), Artez (Espagne) 180, avril 2012, 3p.

• « Le mauvais garçon. Brassard », Jeu 142, mars 2012, 3p.

• « Faire mourir d’amour. Comment tuer Shakespeare », « La bible de l’objet animé. Encyclopédie mondiale des arts de la marionnette », Jeu 143, juin 2012, 7p.

• « Un sens aigu de l’histoire. De l’acteur vedette au théâtre de festival. Histoire des pratiques scéniques montréalaises. 1940-1980 », Jeu 145, décembre 2012, 4p.

• « My Montreal top 3. Michel Vaïs writes about his favourite shows in 2012 » (Moi, dans les ruines rouges du siècle, La Corneille, Une vie pour deux : http://www.mumbaitheatreguide.com/dramas/features/12/dec/ 26-my-montreal-top-3-michael-vais-writes-about-his-favourite-shows-2012-feature.asp#sthash.qjoFxB0P.dpuf, Mumbai Theatre Guide.com.

• « La vie, le sens et la parade », Critical Stages/Scènes critiques No 9 (criticalstages.org), février 2014.

• « L’essor du théâtre en Azerbaïdjan », « Quatre questions à Robert Lepage sur la critique », Critical Stages/Scènes critiques No 10 (criticalstages.org), octobre 2014.

• « Robert Lepage en marquis de Sade : très convaincant », Critical Stages/Scènes critiques No 13 (criticalstages.org), juin 2016.

• « Quand la critique nous éclaire », Jeu 162, mars 2017, 3p.


Site Web de Jeu : Depuis 2012, critiques de : Barbu, La Verità, Ganesh versus The Third Reich, La Cantatrice chauve et La Leçon, La Corneille, Le Misanthrope, Le Roi se meurt, Les Aiguilles et l’Opium, Les Dévoilements simples (strip-tease), Les Particules élémentaires, Grain(s), La Pérégrin chérubinique, Qui a peur de Virginia Woolf, Sœurs, Spécialités féminines, Triptyque, Les Mains de mon père, Petit Bonhomme en papier carbone, Vipérine…

13.10 Mémoire et thèse

• Vaïs, Michel, Le Sentiment d’étrangeté dans l’œuvre de René de Obaldia, Maîtrise ès arts, Département de langue et littérature françaises, Université McGill, 1969, 75p. https://escholarship.mcgill.ca/concern/theses/w95051887?locale=en

• Vaïs, Michel, Du littérateur dramatique à l’écrivain scénique : les fonctions scéniques d’expression chez l’auteur de théâtre français depuis les années cinquante, Doctorat de troisième cycle, Département d’études théâtrales, Université de Paris VIII, 1974, 378p.

NOTE : Les archives du Théâtre des Saltimbanques ont été déposées à la Théâtrotèque de l’Université de Montréal, avec copie à la BAnQ ; plusieurs émissions radio de la Chaîne culturelle de Radio-Canada sont aussi à la Théâtrotèque.


SKETCHS de Raymond Devos par Michel Vaïs : https://www.youtube.com/watch?v=UjhI5R4QVrA

Sketchs de Raymond Devos par Michel Vaïs.